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Politique - Éclairage

Le Hezbollah va-t-il finir par lâcher Frangié ?

Dans les milieux du parti chiite, on assure que le prix d'un renoncement à la candidature de Frangié serait élevé.

Le Hezbollah va-t-il finir par lâcher Frangié ?

Des combattants du Hezbollah commémorant la Achoura à Beyrouth. Photo d'archives Anwar Amro/AFP

« Il n’y a pas de troisième voie pour le Hezbollah », assure Jamil Sayed, député indépendant proche du parti chiite à L’Orient-Le Jour. Une affirmation qui revient en boucle dans la bouche de plusieurs responsables du parti de Dieu qui martèlent...
« Il n’y a pas de troisième voie pour le Hezbollah », assure Jamil Sayed, député indépendant proche du parti chiite à L’Orient-Le Jour. Une affirmation qui revient en boucle dans la bouche de plusieurs responsables du parti de Dieu qui martèlent...

commentaires (9)

Il importe peu que le Hezb lâche Frangieh ou non. Le Hezb n'est pas en mesure d'imposer son candidat sans payer un prix que le Hezb n'est pas disposé à payer. Je crois que l'opposition n'a aucun intérêt à accepter Frangieh: Le Hezb avait déjà une influence prépondérante sur les gouvernements Diab et Mikati, avec les résultats que l'on sait. Dans le passé, tout le monde rêvait d'une part du gâteau et le Hezb pouvait en jouer. Maintenant que de gâteau, il n'y a plus, avoir simplement un ministère n'est plus attrayant, surtout si toutes les décisions majeures seront prises par le Hezb. Il est plus confortable d'être dans l'opposition, et donc, aucune raison d'accepter le choix du Hezb

Nagi Nahas

16 h 49, le 23 juin 2023

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Commentaires (9)

  • Il importe peu que le Hezb lâche Frangieh ou non. Le Hezb n'est pas en mesure d'imposer son candidat sans payer un prix que le Hezb n'est pas disposé à payer. Je crois que l'opposition n'a aucun intérêt à accepter Frangieh: Le Hezb avait déjà une influence prépondérante sur les gouvernements Diab et Mikati, avec les résultats que l'on sait. Dans le passé, tout le monde rêvait d'une part du gâteau et le Hezb pouvait en jouer. Maintenant que de gâteau, il n'y a plus, avoir simplement un ministère n'est plus attrayant, surtout si toutes les décisions majeures seront prises par le Hezb. Il est plus confortable d'être dans l'opposition, et donc, aucune raison d'accepter le choix du Hezb

    Nagi Nahas

    16 h 49, le 23 juin 2023

  • Qu il lâche le Liban !

    Tania

    16 h 22, le 23 juin 2023

  • Le Hezbollah fera ce que son maître à Téhéran lui ordonnera de faire. En tous cas on s’en fout de l’avis du Hezbollah car on ne veut plus vivre dans un même pays que lui. Qu’ils fassent ce qu’ils veulent chez eux et nous foutent la paix, on se contentera de vivre en paix et en tranquillité dans nos régions

    Lecteur excédé par la censure

    12 h 06, le 23 juin 2023

  • Allez; on se lâche tous, folies à gogo!!!

    Samir Tabet

    20 h 50, le 22 juin 2023

  • quel que soient les exigences du hizb, aucune ne fera reculer la corruption au Liban

    Elementaire

    20 h 02, le 22 juin 2023

  • Ils seront obligés de lâcher leur poulain avec ou sans le consentement des pays étrangers. Les libanais ne veulent pas de leur pion pour un nouveau mandat pour perpétuer le saccage et la destruction de leur pays et de sa culture ancestrale. Ils ont déjà tout donné et n’ont plus rien à perdre, alors que peut un parti contre une patrie?

    Sissi zayyat

    19 h 01, le 22 juin 2023

  • Ce que le Hezbollah considère, comme équilibre, c'est quand la balance penche vers lui. Si la balance est au juste milieu pour lui la justice est une parjure et une abération Israelo-Américaine. Quelle poisse se Parti!

    Marwan Takchi

    18 h 08, le 22 juin 2023

  • ""Ils ne peuvent pas imposer un président par le fait accompli"", car en matière du fait accompli, je ne connais qu’un seul parti dont la spécialité est de mettre les autres le dos au mur. On ne connaît exactement la sincérité dans ce marchandage digne d’un souk de tapis, et si le Hezb accepte de faire un pas de côté, en renonçant à son champion, pour réclamer d’autres pôles de pouvoir, il a bien en tête que la présidence de la république n’est pas une présidence comme les autres, le côté symbolique bien sûr, avec les limites du pouvoir de ce poste qu’on connaît…

    Nabil

    17 h 32, le 22 juin 2023

  • En résumé : Le pays est pris en otage. Mes EXIGENCES Divines contre votre demande de larbins.

    LE FRANCOPHONE

    17 h 08, le 22 juin 2023

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