
Le chef du Parti républicain du peuple (CHP) et candidat commun à la présidence de l'Alliance nationale, Kemal Kiliçdaroglu, donne une conférence de presse à Ankara le 18 mai 2023. Photo AFP
En mauvaise position pour remporter le scrutin le 28 mai, le candidat de l’opposition durcit le ton dans un vocable qu’on lui connaît peu. Güney Yildiz, analyste politique indépendant spécialiste de la Turquie, décrypte cette nouvelle posture.
OLJ / Propos recueillis par Clara HAGE, le 19 mai 2023 à 19h44
Le chef du Parti républicain du peuple (CHP) et candidat commun à la présidence de l'Alliance nationale, Kemal Kiliçdaroglu, donne une conférence de presse à Ankara le 18 mai 2023. Photo AFP
Voyons de plus près le cas de Recep Tayyib Erdogan, les bienfaits incommensurable de la grandeur de la Turquie sous son règne avec une poigne à vouloir bâtir la nation et la flexibilité pour faire venir à lui et à la Turquie les indécis en se prévalant de son “AURA” et ce depuis qu’il est au pouvoir. Dont acte. Momed.
C'est une attitude typique de celui qui sait qu'il a déjà perdu ! Adieu Monsieur Kemal Truc-Muche dont le nom de famille ne sera jamais facile à retenir , adieu !
Voyons de plus près le cas de Recep Tayyib Erdogan, les bienfaits incommensurable de la grandeur de la Turquie sous son règne avec une poigne à vouloir bâtir la nation et la flexibilité pour faire venir à lui et à la Turquie les indécis en se prévalant de son “AURA” et ce depuis qu’il est au pouvoir. Dont acte. Momed.
13 h 44, le 23 mai 2023