Rechercher
Rechercher

Nos Lecteurs ont la Parole

Mort à la morale !

L’homme vit dans un âge misérable modelé par des automates fades qui ruinent les doctrines et ses valeurs morales.

Comme des bêtes sauvages, ils attaquent la chair humaine sans relâche et la laissent agoniser dans la douleur jusqu’à rendre l’âme.

Le cerveau devient esclave des manigances secrètes qui arrachent l’être de ses appartenances souveraines et le lâchent seul en proie à des perturbations mentales.

Ces monstres contemplent avec jouissance l’humanité se briser en silence et son habileté écrasée, donnant naissance à une société malsaine répandant le mal.

Quelle atrocité de semer le trouble dans l’ensemble et de décider du sort mondial.

La complicité née au sein de la communauté est destinée à engendrer la pagaille et, au nom de la liberté, à abolir les principes de moralité.

La raison de l’être humain devient soumise à leur mauvaise idéologie et prise en esclavage à vie.

Leurs idées libérales ne sont autres que libertines, visant à abolir les âmes divines et à démolir les sacrements bénis.

Des rebelles qui ont créé des dogmes pervers pour être les maîtres de la terre et manipuler l’univers à leur manière.

Une philosophie leste et sans sagesse s’adapte rapidement à un environnement troublé qui l’adopte facilement, se croyant libre de tout complexe.

En rejetant les principes et en honorant les faux prophètes, ces esprits simples finissent dans un horrible labyrinthe où ils sont retenus comme des bêtes seules et sans lumière.

Isolés et confus, ces détenus acceptent en silence leur soumission répressive et ce funeste chaos de désordre dans lequel leurs consciences sont prisonnières.

Dénuées de tout droit, ces victimes sans voix n’attendent que les ordres de leurs maîtres.

Les méchants leur imposent des lois ténébreuses et trompeuses qui tuent leur vertu et débitent de fausses règles.

Ce ne sont que des imposteurs et des traîtres.

Au nom de la liberté, ils ont établi des préceptes conformes à leur identité.

Ils ont gâté le monde, ces hommes immondes et dieux de la terre qu’ils veulent être.

Une secte sombre se forme, dont les théories reflètent le caractère de ses adeptes et leur personnalité remplie de mystères.

Ils fondent leur science sur l’art de la conduite humaine en fonction de ses désirs et en dehors de toutes les exigences, mais dans le but de se satisfaire.

Ces anarchistes dont la foi se base sur une liberté absolue refusent de se soumettre à l’ordre qu’ils estiment injuste et autoritaire.

Fidèles à leur appartenance, ces rebelles rejettent tout jugement ferme qui profanerait leurs principes et briserait leur idéologie sacrée afin de mettre un terme à leur conception libertaire.

Nier tout attachement transcendantal auquel l’âme aspire à trouver la sérénité pour plutôt accepter sa propre existence au-delà de toute essence fondamentale en vue de la manipuler selon ses fantasmes et d’agir selon son libre arbitre.

Et même, pire, vivre sans dévouement spirituel et, par conséquent, sans affection ou tendresse, mais bien dans l’arrogance complète, et donc dans la suffisance abjecte, pour être le seul maître de son présent et de son devenir.

Choisir même son sort en fonction des désirs immédiats qui honorent une pensée claire et nette du moment actuel et contestent les sentiments de remords qui peuvent nuire.

L’esprit trouve la mort lentement et la chair pourrit seule sans son compagnon pour finir dans la corruption atroce.

La prise de conscience est indispensable pour ne pas tomber dans une situation misérable et ignoble.

La sensibilisation est primordiale pour prévenir la détérioration de l’état mental de la personne.

La prétention aveugle le cœur humain au point d’obscurcir la faculté de la morale jusqu’à endommager sa bonne raison.

La négation de l’idéal collectif encourage le mal capable d’anéantir toute espérance conciliante, et ramène dans le néant et dans son abîme profond.

Une destruction globale qui aboutit à la mort finale qui mène à la ruine de l’image de perfection. À la honte et à la disgrâce, et, par conséquent, à la bassesse totale.

Les tables de la loi s’estompent à tout jamais et les droits de l’infamie prennent place.

Le monde tourne à l’envers pour devenir un parangon d’enfer. Et la farce est jouée.

Sans noblesse ni décence, l’air sera altéré. L’atmosphère, souffrant, sera étrange et inquiétante.

La Terre troublée attend une seconde promesse pour revenir à son image originelle.

Et pitié aux lâches et aux esprits frêles.


Les textes publiés dans le cadre de la rubrique « Courrier » n’engagent que leurs auteurs. Dans cet espace, « L’Orient-Le Jour » offre à ses lecteurs l’opportunité d’exprimer leurs idées, leurs commentaires et leurs réflexions sur divers sujets, à condition que les propos ne soient ni diffamatoires, ni injurieux, ni racistes.

L’homme vit dans un âge misérable modelé par des automates fades qui ruinent les doctrines et ses valeurs morales.Comme des bêtes sauvages, ils attaquent la chair humaine sans relâche et la laissent agoniser dans la douleur jusqu’à rendre l’âme.Le cerveau devient esclave des manigances secrètes qui arrachent l’être de ses appartenances souveraines et le lâchent seul...

commentaires (0)

Commentaires (0)

Retour en haut