Rechercher
Rechercher

Société - Récit/Commémoration du 13 avril

Disparus de la guerre : quand les proches s’en vont sans avoir appris la vérité

Les familles continuent le combat pour connaître le sort des êtres chers. Mais à mesure que les années passent, ces mères, pères ou épouses quittent ce monde les uns après les autres sans avoir obtenu de réponses. 

Disparus de la guerre : quand les proches s’en vont sans avoir appris la vérité

Nouhad Jurdi, 81 ans, portant le portrait de son fils Ayman Salim, disparu il y a 40 ans. Photo C.H.

Un jeune homme rencontre une femme sur les bancs de la fac. Une histoire comme il en existe des milliers. À un détail près : nous sommes dans un Liban en guerre depuis sept ans et, en juin 1982, l’armée israélienne a envahi le pays. De leur...
Un jeune homme rencontre une femme sur les bancs de la fac. Une histoire comme il en existe des milliers. À un détail près : nous sommes dans un Liban en guerre depuis sept ans et, en juin 1982, l’armée israélienne a envahi le pays. De leur...

commentaires (6)

N'était-ce pas encore une promesse parmi tant d’autres non tenues par notre cher ex-president? Quelle disgrace!

CW

13 h 33, le 14 avril 2023

Tous les commentaires

Commentaires (6)

  • N'était-ce pas encore une promesse parmi tant d’autres non tenues par notre cher ex-president? Quelle disgrace!

    CW

    13 h 33, le 14 avril 2023

  • Triste à mourir !!!

    Wow

    03 h 57, le 14 avril 2023

  • Tres bel article. Courage aux familles de disparus.

    Marc C

    23 h 22, le 13 avril 2023

  • On n'a plus besoin de guerre pour tuer les gens. La dégradation rapide de l'environnement, les déforestations sauvages, les pollutions industrielles, urbaines et humaines grâce à la démographie sauvage et irresponsable (il suffit de jeter un coup d'oeil sur les camps des réfugies syriens pour "admirer" la sur-reproduction avec le surnombre de gosses de moins de dix ans) auront bientôt fait d'enlaidir encore plus, voire d'achever le Liban, et d'engloutir tout le Moyen Orient où le vert et l'air respirable seront bientôt du "khabar kana" (le passé englouti sans doute à tout jamais)... En fin de compte, la surpopulation excessive et les pollutions démographiques comme on en voit au Moyen Orient, en Afrique et dans presque tous les pays du monde (Inde, Pakistan, Chine, etc.), n'en déplaise aux humanistes naifs, peuvent être aussi dangereuses que toutes les guerres, car c'est notre environnement naturel, nos sources d'air et d'oxygène dont le manque risquera d'asphyxier tout le monde.

    Jacques Saleh, PhD

    20 h 20, le 13 avril 2023

  • L'un de ces nombreux impensés d'une société que ce sujet dérange, alors qu'il pourrait être au cœur de réconciliations/apaisements...mais ceci serait contraire aux intérêts des oligarchies mafio-confessionnelles et de leurs clientèles. Non pas que le corps social dans son ensemble ne soit exempt de reproches, vivant pour l'essentiel dans le mensonge et l'hypocrisie. La cruauté et l'infini chagrin, l'impossible deuil, tout comme dans le cas du port, indiffèrent la plupart des libanais, soi disant connus pour leur insouciance et joie de vivre...

    IBN KHALDOUN

    19 h 49, le 13 avril 2023

  • L'incommensurable peine engendrée par la disparition d'un enfant, au sens propre du terme, est la plus terrible des épreuves. Les combats, les enlèvements, les meurtres crapuleux ne nous ont pas épargnés. Nous connaissons tous un ami, une relation, un collègue de travail ignorant tout du sort réservé à son fils ou sa fille disparus, et vivant avec cette indiscible peine ancrée au fond du coeur. Ici encore, l'Etat a été totalement absent et défaillant dans sa prétendue quête de la réconciliation nationale. Désormais, les blessures ne cicatriseront jamais et ne s'éteindront qu'à la mort. Pères et mères qui ont enduré ce drame, votre courage est admirable.

    Ca va mieux en le disant

    19 h 41, le 13 avril 2023

Retour en haut