« Partir ou rester : quoi que tu fasses, tu es fichu » : Au Akkar, des familles pleurent leurs proches morts en Turquie
Huit des 16 victimes libanaises confirmées du tremblement de terre en Turquie et en Syrie le mois dernier étaient originaires du Liban-Nord. Un mois après la catastrophe, une famille de Wadi Khaled, au Akkar, pleure toujours la perte de son fils.
Un membre de la famille montre une photo prise avec un téléphone portable de Wissam et de sa fille Nada, âgée de neuf ans, lors d’une soirée dansante à Antakya, peu avant le tremblement de terre du 6 février. Lui et sa fille ont tous deux perdu la vie dans la catastrophe. Photo João Sousa
À Rajm al-Khalaf, dans le caza du Akkar au Liban-Nord, Wissam al-Assaad et sa famille élargie étaient proches. Ils se rendaient souvent visite, franchissant la distance entre Antioche (Turquie), où Wissam avait élu domicile avec sa femme et ses deux...
À Rajm al-Khalaf, dans le caza du Akkar au Liban-Nord, Wissam al-Assaad et sa famille élargie étaient proches. Ils se rendaient souvent visite, franchissant la distance entre Antioche (Turquie), où Wissam avait élu domicile avec sa femme et ses deux...
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commentaires (1)
Quelle catastrophe incommensurable. Que Dieu, quel qu'il doit, les soutienne et leur vienne en aide. Compassion profonde pour tous ces anonymes.
Gloups
22 h 11, le 06 mars 2023