
Page d'accueil du Centre for Lebanese Studies (CLS) sur internet. Capture d'écran
L’établissement a rompu un partenariat avec le Center for Lebanese Studies (CLS) après que ce dernier a critiqué une décision du ministre sortant de l’Éducation concernant l’accès des petits réfugiés à l’école publique.
OLJ / Par Zeina ANTONIOS, le 22 février 2023 à 12h29
Page d'accueil du Centre for Lebanese Studies (CLS) sur internet. Capture d'écran
Donc on trouve normal que les élèves Libanais ne puissent pas aller à l'école alors que les élèves Syriens puissent le faire? Dans quel monde vit-on? Je ne comprends même pas que les aides ne soient pas dirigées en priorité aux Libanais. Désolé mais les Syriens passent en seconde priorité ! Le ministre et la LAU ont raison de faire ce qu'ils ont fait. On marche sur la tête !
“Charité bien ordonnée commence par soi-même”. Que le gouvernement syrien paye pour éduquer ses ressortissants au Liban.
… Sauf que le ministre sortant avait décidé de suspendre également les cours destinés aux petits Syriens, justifiant sa décision par la nécessité de mettre les élèves sur un pied d’égalité… Égalité, Fraternité et Chantage ! Quand on pense qu’on ne peut plus descendre plus bas … eh bien si !! Vivent les bananes !
Donc on trouve normal que les élèves Libanais ne puissent pas aller à l'école alors que les élèves Syriens puissent le faire? Dans quel monde vit-on? Je ne comprends même pas que les aides ne soient pas dirigées en priorité aux Libanais. Désolé mais les Syriens passent en seconde priorité ! Le ministre et la LAU ont raison de faire ce qu'ils ont fait. On marche sur la tête !
19 h 58, le 22 février 2023