L’hôtel al-Bustan, cet éternel phare posé au sommet de Beit-Méry
Un restaurant, un hôtel, un bar, une boutique, une plage... Chaque premier lundi du mois, nous vous emmenons à la (re)découverte d’un endroit inscrit, d’une manière ou d’une autre, dans la mémoire collective libanaise. À travers l’histoire de ces lieux, cette nouvelle rubrique va surtout raconter pourquoi ils sont encore aujourd’hui... cultes. Pour ce quatrième numéro, l’hôtel al-Bustan fondé en 1967 à Beit-Méry.
OLJ / Texte Gilles KHOURY – Photos Michèle AOUN, le 06 février 2023 à 00h00
C’est comme un phare insoupçonné, estampillé au sommet de la colline de Beit-Méry. Un (bâtiment) phare à 800 mètres d’altitude, mais qui, avec son enseigne reconnaissable parmi mille au lettrage un peu gothique, un peu médiéval, sert de repère...
C’est comme un phare insoupçonné, estampillé au sommet de la colline de Beit-Méry. Un (bâtiment) phare à 800 mètres d’altitude, mais qui, avec son enseigne reconnaissable parmi mille au lettrage un peu gothique, un peu médiéval, sert de repère...
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@michael Je partage votre opinion Michael, ils mériteraient d'être non seulement nommés mais aussi leur fonction mise en valeur. Ce ne sont pas des tous jeunes de l'hotellerie, et ils le mériteraient ! Super article et épopée familliale retracée. Encore !
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Gloups
12 h 56, le 10 février 2023
Bel article mais ces hommes (au nombre de 4) qui sont sur les photos mériteraient quand même qu'ils soient nommés. Ce serait plus décent.
Michael
03 h 23, le 10 février 2023
Je ne savais qu'un buffet pouvait etre Mythologique ......
C'est vraiment choquant et surtout desolant de lire cela dans le quotidien que je porte le plus a coeur
Je pense que c'est tout simplement
une reflection de la societe actuelle Libanaise: Mythologique / Mythique Basita Mr Loughat tu m'as compris
Ariss Omar
12 h 23, le 06 février 2023
Tout cela est l’œuvre d’un homme, Émile Boustany, Émile le bâtisseur bien longtemps avant Hariri, il faut bien le reconnaître, et pour ceux qui le nient encore, c’était l’âge d’or du Liban. Pour mieux connaître l’homme et son destin, à lire (impératif catégorique) l’éditorial de M. Issa Goraïeb ; ""Un parcours en béton"" du 13 mars 2013, et du livre cité ""Orphan with a hoop"", où l’on découvre les bons goûts d’Émile Boustany, pour le vin, les livres, et sa collection de ""prayers beads"", et… pour le cigare entre autres. Pour le cigare, la photo page 138 du livre, d’Émile Boustany serrant la main de Nasser à la manière d’un maquignon (marché conclu) avec à la main gauche le cigare entre l’index et le majeur, le cigare de la gloire, en présence du Raïs, l’autre illustre personnage. La photographe nous a habitué à son souci particulier du cadrage, mérite un grand bravo, sauf pour la photo de l’enseigne (à défaut d’un drone) s’est contentée d’un point de vue tellement proche de l’édifice, et le rose (ce n’est qu’un détail), couleur du Scottish Bar. Je connais bien les lieux pour le nombre de mes promenades de santé jusqu’au club un peu plus bas, mais c’est une autre histoire. L'âge d'or du Liban, j'ai écrit, ""putain de nostalgie"".
Nabil
07 h 25, le 06 février 2023
Tout cela est l’œuvre d’un homme, Émile Boustany, Émile le bâtisseur bien longtemps avant Hariri, il faut bien le reconnaître, et pour ceux qui le nient encore, c’était l’âge d’or du Liban. Pour mieux connaître l’homme et son destin, à lire (impératif catégorique) l’éditorial de M. Issa Goraïeb ; ""Un parcours en béton"" du 13 mars 2013, et du livre cité ""Orphan with a hoop"", où l’on découvre les bons goûts d’Émile Boustany, pour le vin, les livres, et sa collection de ""prayers beads"", et… pour le cigare entre autres. Pour le cigare, la photo page 138 du livre, d’Émile Boustany serrant la main de Nasser à la manière d’un maquignon (marché conclu) avec à la main gauche le cigare entre l’index et le majeur, le cigare de la gloire, en présence du Raïs, l’autre illustre personnage. La photographe nous a habitué à son souci particulier du cadrage, mérite un grand bravo, sauf pour la photo de l’enseigne (à défaut d’un drone) s’est contentée d’un point de vue tellement proche de l’édifice, et le rose (ce n’est qu’un détail), de la rose couleur du Scottish Bar. Je connais bien les lieux pour le nombre de mes promenades de santé jusqu’au club un peu plus bas, mais c’est une autre histoire. L'âge d'or du Liban, j'ai écrit, ""putain de nostalgie"".
commentaires (6)
@michael Je partage votre opinion Michael, ils mériteraient d'être non seulement nommés mais aussi leur fonction mise en valeur. Ce ne sont pas des tous jeunes de l'hotellerie, et ils le mériteraient ! Super article et épopée familliale retracée. Encore !
Gloups
12 h 56, le 10 février 2023