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Société - Drame

La mort ou la prison ? Les familles des naufragés syriens imaginent le pire

Une trentaine de migrants seraient toujours portés disparus depuis le drame survenu la semaine dernière au large de la côte de Tartous.

La mort ou la prison ? Les familles des naufragés syriens imaginent le pire

Des militaires au niveau du poste-frontière de Arida, entre la Syrie et le Liban, après le naufrage survenu la semaine dernière. Mohammed Azakir/Reuters

Leila* envoie des messages de manière compulsive bourrés d’émoticones qui pleurent et de cœurs brisés. « SVP, aidez-moi, SVP. Je cherche mon fiancé, je vais mourir, je cherche partout, je veux juste savoir s’il est en vie, s’il est au Liban, s’il est en Syrie. » Une semaine après le naufrage au large de Tartous d’un bateau transportant des migrants en partance du Liban, qui a coûté la vie à plus de 100 personnes, Leila, une jeune Syrienne de Lattaquié, est toujours sans nouvelles de Omar*, « l’amour de (s)a vie ».Sur les 150 passagers libanais, syriens et palestiniens à bord, seuls 20 survivants ont été secourus. Douze d’entre eux seraient de nationalité syrienne, originaires de Lattaquié, d’Idleb et d’Alep, selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme. Toujours selon l’organisation, la plupart auraient fui le...
Leila* envoie des messages de manière compulsive bourrés d’émoticones qui pleurent et de cœurs brisés. « SVP, aidez-moi, SVP. Je cherche mon fiancé, je vais mourir, je cherche partout, je veux juste savoir s’il est en vie, s’il est au Liban, s’il est en Syrie. » Une semaine après le naufrage au large de Tartous d’un bateau transportant des migrants en partance du Liban, qui a coûté la vie à plus de 100 personnes, Leila, une jeune Syrienne de Lattaquié, est toujours sans nouvelles de Omar*, « l’amour de (s)a vie ».Sur les 150 passagers libanais, syriens et palestiniens à bord, seuls 20 survivants ont été secourus. Douze d’entre eux seraient de nationalité syrienne, originaires de Lattaquié, d’Idleb et d’Alep, selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme. Toujours selon...
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