Politique - Focus
Pourquoi Abbas Ibrahim a été chargé du dossier des réfugiés syriens
Le timing de la lettre envoyée par Nagib Mikati au secrétaire général de l’ONU pose plusieurs questions.
OLJ / Par Salah Hijazi, le 14 septembre 2022 à 00h00
Le timing de la lettre envoyée par Nagib Mikati au secrétaire général de l’ONU pose plusieurs questions.
OLJ / Par Salah Hijazi, le 14 septembre 2022 à 00h00
On ne peut pas obliger un pays à accueillir des réfugiés qui représentent plus que le quart de sa population alors qu’il est dans la mouise et peine à gérer la crise de l’eau, l’électricité et les denrées essentiels et des médicaments pour ses propres citoyens sans parler de sa superficie qui est déjà étriquée et a du mal à contenir et loger son propre peuple. La Syrie est plus vaste et certaines régions sont maintenant sécurisées alors pourquoi s’entêter à les garder sur notre sol dans des conditions misérables malgré toutes les aides qu’ils reçoivent faute de place et produits essentiels qui manquent cruellement au Liban. Personne ne peut obliger un pays à accueillir sur son sol une population qui par sa présence crée des pénuries et des manques aux dépens de ses propres citoyens puisqu’il est obligé de partager ce qu’il ne possède pas. Ces seules raisons qui n’ont jamais été évoquées par nos irresponsables peuvent amener les pays concernés, même s’ils le savent déjà à trouver une autre solution en faisant pression sur Assad qui refuse le retour de ses citoyens dans leur pays puisque les aides seront aussitôt stoppées. N’oublions pas que ces aides vont directement en Syrie ce qui n’est pas pour déplaire à Assad qui joue un double jeu comme d’hab.
Il est bien Mr Abbas Ibrahim
Il est Mr Abbas Ibrahim
Pas de solution tant que le Hezbollah n’est pas délogé de ses colonies de Qalamoun Zabadani et Qousseir. Si on avait un gouvernement digne de ce nom il aurait envoyé l’armée libanaise occuper ces zones et y imposer aux Assad et à toute l’entité néo-safavide le placement des réfugiés syriens qu’ils ont envoyé au Liban. Exactement comme l’a fait Erdogan avec « ses syriens ». Bien entendu étant donné la faiblesse de l’armée libanaise ce n’est pas demain la veille que l’unique solution au problème des réfugiés syriens verra le jour. Le Liban n’est pas la Suisse, entourée de pays bienveillants. Sa neutralité il ne pourra l’imposer que du bout de ses canons.
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On ne peut pas obliger un pays à accueillir des réfugiés qui représentent plus que le quart de sa population alors qu’il est dans la mouise et peine à gérer la crise de l’eau, l’électricité et les denrées essentiels et des médicaments pour ses propres citoyens sans parler de sa superficie qui est déjà étriquée et a du mal à contenir et loger son propre peuple. La Syrie est plus vaste et certaines régions sont maintenant sécurisées alors pourquoi s’entêter à les garder sur notre sol dans des conditions misérables malgré toutes les aides qu’ils reçoivent faute de place et produits essentiels qui manquent cruellement au Liban. Personne ne peut obliger un pays à accueillir sur son sol une population qui par sa présence crée des pénuries et des manques aux dépens de ses propres citoyens puisqu’il est obligé de partager ce qu’il ne possède pas. Ces seules raisons qui n’ont jamais été évoquées par nos irresponsables peuvent amener les pays concernés, même s’ils le savent déjà à trouver une autre solution en faisant pression sur Assad qui refuse le retour de ses citoyens dans leur pays puisque les aides seront aussitôt stoppées. N’oublions pas que ces aides vont directement en Syrie ce qui n’est pas pour déplaire à Assad qui joue un double jeu comme d’hab.
Sissi zayyat
13 h 44, le 14 septembre 2022