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Politique - Focus

Pourquoi Abbas Ibrahim a été chargé du dossier des réfugiés syriens

Le timing de la lettre envoyée par Nagib Mikati au secrétaire général de l’ONU pose plusieurs questions.

Pourquoi Abbas Ibrahim a été chargé du dossier des réfugiés syriens

Le Premier ministre sortant Nagib Mikati avec le directeur de la Sûreté générale, Abbas Ibrahim. Photo d’archives ANI

L’homme des missions difficiles entre en scène. Le Premier ministre sortant, Nagib Mikati, a chargé vendredi le directeur général de la Sûreté générale, Abbas Ibrahim, de négocier avec Damas le retour « volontaire et sûr » des réfugiés...
L’homme des missions difficiles entre en scène. Le Premier ministre sortant, Nagib Mikati, a chargé vendredi le directeur général de la Sûreté générale, Abbas Ibrahim, de négocier avec Damas le retour « volontaire et sûr » des réfugiés...

commentaires (4)

On ne peut pas obliger un pays à accueillir des réfugiés qui représentent plus que le quart de sa population alors qu’il est dans la mouise et peine à gérer la crise de l’eau, l’électricité et les denrées essentiels et des médicaments pour ses propres citoyens sans parler de sa superficie qui est déjà étriquée et a du mal à contenir et loger son propre peuple. La Syrie est plus vaste et certaines régions sont maintenant sécurisées alors pourquoi s’entêter à les garder sur notre sol dans des conditions misérables malgré toutes les aides qu’ils reçoivent faute de place et produits essentiels qui manquent cruellement au Liban. Personne ne peut obliger un pays à accueillir sur son sol une population qui par sa présence crée des pénuries et des manques aux dépens de ses propres citoyens puisqu’il est obligé de partager ce qu’il ne possède pas. Ces seules raisons qui n’ont jamais été évoquées par nos irresponsables peuvent amener les pays concernés, même s’ils le savent déjà à trouver une autre solution en faisant pression sur Assad qui refuse le retour de ses citoyens dans leur pays puisque les aides seront aussitôt stoppées. N’oublions pas que ces aides vont directement en Syrie ce qui n’est pas pour déplaire à Assad qui joue un double jeu comme d’hab.

Sissi zayyat

13 h 44, le 14 septembre 2022

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Commentaires (4)

  • On ne peut pas obliger un pays à accueillir des réfugiés qui représentent plus que le quart de sa population alors qu’il est dans la mouise et peine à gérer la crise de l’eau, l’électricité et les denrées essentiels et des médicaments pour ses propres citoyens sans parler de sa superficie qui est déjà étriquée et a du mal à contenir et loger son propre peuple. La Syrie est plus vaste et certaines régions sont maintenant sécurisées alors pourquoi s’entêter à les garder sur notre sol dans des conditions misérables malgré toutes les aides qu’ils reçoivent faute de place et produits essentiels qui manquent cruellement au Liban. Personne ne peut obliger un pays à accueillir sur son sol une population qui par sa présence crée des pénuries et des manques aux dépens de ses propres citoyens puisqu’il est obligé de partager ce qu’il ne possède pas. Ces seules raisons qui n’ont jamais été évoquées par nos irresponsables peuvent amener les pays concernés, même s’ils le savent déjà à trouver une autre solution en faisant pression sur Assad qui refuse le retour de ses citoyens dans leur pays puisque les aides seront aussitôt stoppées. N’oublions pas que ces aides vont directement en Syrie ce qui n’est pas pour déplaire à Assad qui joue un double jeu comme d’hab.

    Sissi zayyat

    13 h 44, le 14 septembre 2022

  • Il est bien Mr Abbas Ibrahim

    Eleni Caridopoulou

    12 h 28, le 14 septembre 2022

  • Il est Mr Abbas Ibrahim

    Eleni Caridopoulou

    11 h 52, le 14 septembre 2022

  • Pas de solution tant que le Hezbollah n’est pas délogé de ses colonies de Qalamoun Zabadani et Qousseir. Si on avait un gouvernement digne de ce nom il aurait envoyé l’armée libanaise occuper ces zones et y imposer aux Assad et à toute l’entité néo-safavide le placement des réfugiés syriens qu’ils ont envoyé au Liban. Exactement comme l’a fait Erdogan avec « ses syriens ». Bien entendu étant donné la faiblesse de l’armée libanaise ce n’est pas demain la veille que l’unique solution au problème des réfugiés syriens verra le jour. Le Liban n’est pas la Suisse, entourée de pays bienveillants. Sa neutralité il ne pourra l’imposer que du bout de ses canons.

    Citoyen libanais

    07 h 51, le 14 septembre 2022

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