
Le prince héritier saoudien Mohammad ben Salmane recevant le président français Emmanuel Macron, le 4 décembre 2021, à Djeddah. Photo d’archives AFP
Ce sont des positions plutôt réservées qu’ont exprimées pour l’heure les grandes capitales occidentales et arabes au lendemain des législatives. Une retenue qui peut s’expliquer par un souci de prudence face à la mosaïque des forces parlementaires....How does the international community perceive the new Lebanese Parliament?...
commentaires (8)
C’est dans l’ordre des choses pour vous journalistes que l’ambassadeur saoudien , Walid Boukhari fourre son nez dans nos affaires pour créer un front anti Hezbollah Que ne ferait-on pas si l’ambassadeur iranien venait à lui emboîter en essayant lui aussi de créer un front adverse . Somme toute, la politique deux poids deux mesures continue de régner en toute arrogance sur un Liban dépendant, à la traîne des diplomates qui régentent la majorité de nos partis politiques .
Hitti arlette
14 h 50, le 05 juin 2022