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Économie - Compétition

Les inscriptions pour la 3e édition du prix Entrepreneur ESA – HEC Paris ouvertes jusqu’au 31 mai

Les inscriptions pour la 3e édition du prix Entrepreneur ESA – HEC Paris ouvertes jusqu’au 31 mai

Le vainqueur du prix Entrepreneur ESA-HEC pourra bénéficier d’une période d’incubation de six mois, tous frais inclus, à l’incubateur HEC à Station F à Paris.

Lancé en 2020 malgré la pandémie de Covid-19, le prix Entrepreneur ESA-HEC embraye sur sa troisième édition consécutive pour offrir une nouvelle fenêtre d’opportunités aux jeunes Libanais souhaitant développer leur projet d’entreprise afin de leur permettre d’atteindre leur plein potentiel.

La compétition est organisée par L’Orient-Le Jour, ESA Business School, Smart-ESA et l’association HEC Alumni chapitre Liban avec le soutien de l’ambassade de France à Beyrouth, de La French Tech Beyrouth, d’Air France et enfin la Chambre de commerce, d’industrie et d’agriculture de Beyrouth et du Mont-Liban (CCIAB). Elle est ouverte depuis début mai aux entrepreneurs libanais résidant sur le territoire ou à l’étranger, qui ont jusqu’au 31 du même mois pour déposer leur dossier présentant leur entreprise et leur produit en cours de développement. Les inscriptions se font exclusivement en ligne via l’adresse suivante : https://info.esa.edu.lb/prix-entrepreneur-esa-hec-paris-2022

Le vainqueur pourra bénéficier d’une période d’incubation de six mois, tous frais inclus, à l’incubateur HEC de Station F à Paris, le plus grand campus de start-up du monde, en plus d’une visibilité médiatique via L’Orient-Le Jour. Les finalistes bénéficieront tous du programme d’accompagnement assuré par l’incubateur Smart-ESA à Beyrouth, de bourses pour le Master en innovation et entrepreneuriat (MENT) de l’ESA Business School (mis en place en partenariat avec Smart ESA et HEC Paris) ainsi que des lots offerts par Air France.L’édition 2021, à laquelle 113 candidats avaient participé, avait été remportée par la start-up SynApp Messaging et Podeo, menée par Imad Bousaïd, Habib Habchi et Georges Bousaïd, tandis qu’un prix supplémentaire avait été décerné à Podeo, fondé par Stefano Fallaha. La première start-up a développé un outil de communication et de collaboration entre les professionnels de la santé et avec les centres hospitaliers, la seconde a mis en place une plateforme de podcasts arabes.

Besoin d’un nouveau modèle économique

Pour Maxence Duault, directeur général de l’ESA Business School, « le prix s’inscrit pleinement dans la mission de l’ESA, à savoir former les leaders de demain dans le cadre de partenariats uniques et en portant les valeurs d’innovation et de responsabilité qui sont celles de l’école. » Avant d’ajouter : « C’est aussi un concours qui fait écho au MENT, un programme dont nous sommes fiers et qui propose une véritable immersion dans le monde entrepreneurial. Il s’agit d’un programme unique au Liban, couronné d’un double-diplôme avec HEC Paris, véritable passeport pour l’international et qui ouvre les portes d’un réseau large et de qualité. » « Cette 3e édition sera, je n’en doute pas, un grand succès. La mobilisation des partenaires, nombreux et de qualité, vient confirmer tout l’intérêt de ce concours. J’encourage tous les jeunes entrepreneurs qui osent et qui regardent vers l’avenir à candidater. Nous serons à leurs côtés », a conclu le directeur général de l’ESA Business School.

« Le Liban a plus que jamais besoin d’un nouveau modèle économique, associant une faible empreinte énergétique et environnementale avec la génération de fortes valeurs ajoutées, forcément liées à l’innovation, tout en assurant les emplois nécessaires à sa jeunesse talentueuse. Et cela nécessite une stratégie volontariste soutenant l’éclosion de start-up, à laquelle nous souhaitons, en tant que média, nous associer pleinement », a de son côté expliqué Fouad Khoury Helou, le directeur exécutif de L’Orient-Le Jour. « Il faut retenir les Libanais dans le pays, en particulier les jeunes, et pour cela, leur offrir des opportunités véritables. Le Prix Entrepreneur ESA-HEC contribue à cela à double titre : d’abord en octroyant au gagnant une occasion unique de réaliser son projet et de rencontrer des partenaires et investisseurs potentiels de rang international, tout en bénéficiant d’une couverture médiatique conséquente. Et, surtout, en motivant par ce biais un grand nombre d’autres entrepreneurs à se lancer pleinement dans la réalisation de leur projet. L’émulation par la performance reste en effet la meilleure recette du succès, au plan individuel comme au niveau national » a-t-il renchéri.

Pour être éligibles, les candidats doivent avoir monté leur entreprise depuis au moins deux ans, avoir un produit en cours de développement et un chiffre d’affaires inférieur à 500 000 dollars. Ils devront démontrer au jury que leur projet répond à un problème ou à une nécessité clairement identifiée, qu’il est innovant par rapport aux produits ou aux processus déjà existants, qu’il est viable et potentiellement rentable sur le long terme et enfin qu’il puisse conquérir des marchés à l’international. Les organisateurs s’engagent enfin à respecter la confidentialité des informations communiquées par les candidats et à respecter leurs droits de propriété intellectuels sur leurs projets respectifs.

Lancé en 2020 malgré la pandémie de Covid-19, le prix Entrepreneur ESA-HEC embraye sur sa troisième édition consécutive pour offrir une nouvelle fenêtre d’opportunités aux jeunes Libanais souhaitant développer leur projet d’entreprise afin de leur permettre d’atteindre leur plein potentiel.La compétition est organisée par L’Orient-Le Jour, ESA Business School, Smart-ESA et...

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