
L’accoutrement des célèbres braqueurs de la série télévisée « La casa de papel » avait été choisi par certains manifestants lors de la thaoura en 2019 pour représenter le braquage des déposants et de la population libanaise par leurs banques et les responsables étatiques. Patrick Baz/AFP
Assis sur une des banquettes de la salle d’accueil, l’homme patiente. Il attend que des parents accompagnés de leurs enfants terminent leurs transactions, ou leurs réclamations, au guichet et quittent les lieux. Derrière le plexiglas, ce déposant...Banking restrictions: hold-up stories, the Lebanese way...
commentaires (7)
Je me demande a quoi pense les banques au Liban? Quel sera leur futur? Combien de génération faudra-t-il pour que les déposants locaux puissent regagner la confiance des banques mais surtout celle de la BDL! Ne savent-ils pas que le jour, si un jour, les déposants récupèrent ne serait-ce qu’un dollar, il sera transféré à l’étranger ? Quelle arnaque! Quelle honte! Quel bel exemple que ces banques ont déployé devant le monde entier. Les d’Ali Baba et ces voleurs sans scrupule. Et la justice alors? Où est elle? En connivence avec les Ali Baba, belle symphonie frauduleuse! Le Venezuela, a encore beaucoup à apprendre de ces mafieux libanais, et eux au Venezuela ne sont pas dans de bons draps non plus!
Antoine Chouery
15 h 42, le 28 juin 2022