
Abou Sami (à droite), le doyen des vigiles à Halba, dans le Akkar, avec deux de ses camarades sont postés au point « Haraké ». Situé à l’entrée de Halba, ce point est le plus dangereux et les hommes y montent souvent des barrages. Photo Marie Jo Sader
La municipalité de Halba a des airs d’administration hantée en cette nuit hivernale. Dans l’enceinte du bâtiment, le téléphone sonne sans arrêt. Il est pourtant 23h et il n’y a personne à joindre à une heure aussi tardive. « C’est comme ça tout le...The Akkar civilians who serve as nighttime vigilantes...
commentaires (3)
Et comment ils se font protéger ce héros…
Eleni Caridopoulou
12 h 56, le 28 février 2022