Au Akkar, ces civils qui se muent en vigiles la nuit
Face à la recrudescence des vols, des habitants de Halba montent la garde durant la nuit pour protéger leur village. Cette initiative, qui s’est propagée à d’autres localités du Akkar, est motivée par le vide sécuritaire qui prévaut dans plusieurs régions du pays en raison de la crise. Un retour au « amen zete » (autosécurité ) ? Pas tout à fait.
Abou Sami (à droite), le doyen des vigiles à Halba, dans le Akkar, avec deux de ses camarades sont postés au point « Haraké ». Situé à l’entrée de Halba, ce point est le plus dangereux et les hommes y montent souvent des barrages. Photo Marie Jo Sader
La municipalité de Halba a des airs d’administration hantée en cette nuit hivernale. Dans l’enceinte du bâtiment, le téléphone sonne sans arrêt. Il est pourtant 23h et il n’y a personne à joindre à une heure aussi tardive. « C’est comme ça tout le...
La municipalité de Halba a des airs d’administration hantée en cette nuit hivernale. Dans l’enceinte du bâtiment, le téléphone sonne sans arrêt. Il est pourtant 23h et il n’y a personne à joindre à une heure aussi tardive. « C’est comme ça tout le...
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commentaires (3)
Et comment ils se font protéger ce héros…
Eleni Caridopoulou
12 h 56, le 28 février 2022