La directrice générale du FMI Kristalina Georgieva, accusée d’avoir fait pression pour modifier un rapport en faveur de la Chine quand elle était en fonction à la Banque mondiale, a une nouvelle fois rejeté fermement ces accusations, a rapporté l’AFP.
Une enquête du cabinet WilmerHale diligentée à la demande du comité d’éthique de la Banque mondiale, a récemment conclu à des irrégularités, dans la rédaction des éditions 2018 et 2020 du rapport « Doing Business » de la Banque mondiale, qui passe au crible le cadre réglementaire des pays pour savoir quels sont ceux qui sont le plus favorables au lancement d’entreprises. « Les conclusions sont fausses. Je n’ai fait pression sur personne pour modifier les rapports », a affirmé Mme Georgieva dans un communiqué publié vendredi par le cabinet en communication, SKDK. Elle assure en outre avoir suivi « tous les protocoles » fixés dans le cadre de prérogatives relevant de sa responsabilité alors que le rapport l’accuse d’avoir demandé un changement de méthodologie pour favoriser la Chine.
commentaires (1)
AIE AIE AIE ! ca fait tres tres mal, lire une telle info. non que corruption et/ou autres infractions ne sont pas possibles parmi les fonctionnaires des organismes et instances Int'l , MAIS PARCEQUE ca donnera d'autant plus d'ailes a nos crapules a nous ! OLJ, priere garder pour vous de telles infos.
Gaby SIOUFI
13 h 47, le 27 septembre 2021