Dans son discours par visioconférence devant l’Assemblée générale des Nations unies, le président Michel Aoun a dressé un tableau de la situation au Liban et des perspectives de redressement, après la mise en place d’un nouveau gouvernement. Rien de plus normal, si dans le contexte de crise épouvantable que vivent les Libanais le chef de l’État n’avait pas annoncé que « les menaces israéliennes sont le principal souci de l’État libanais ». Une phrase qui, à elle seule, montre à quel point les dirigeants libanais sont déconnectés de la réalité et étrangers aux véritables soucis de la population.
Le chef de l’État a ainsi expliqué que Beyrouth ne fera « aucun compromis » lors de la reprise, qu’il a espérée prochaine, des négociations avec l’État hébreu sur le tracé de la frontière maritime méridionale.
commentaires (7)
Les dirigeants libanais ne sont absolument pas déconnectés de la réalité puisqu’ils l’ont créée de toute pièce, mais en dénonçant un ennemi fantomatique qui n’a rien avoir avec la crise que traverse ce pays depuis deux ans, on noie le poisson en essayant de détourner le regard et de gaver les fans et fanatiques de leurs partis respectifs de slogans fallacieux tout en éloignant les soupçons sur leurs comportements qui a détruit plus que n’importe quel état ennemi en un temps record. ils ont déclaré la guerre à leurs propres concitoyens parce qu’ils ont osé leur reprocher leur incompétence, il n’y a pas eu beaucoup de morts par armes, quoi que, mais les explosions simulés en accidents, les pénuries de toute sorte et le dépouillement organisé du pays et l’immigration soigneusement orchestrée ont fait que les victimes ne se comptent plus puisqu’il est impossible de les recenser, l’état s’étant déclaré aux abonnés absents. Il serait temps qu’il arrête de faire des discours ce pseudo président car cela ressemble étrangement à des piqûres de rappel de sa part et à un message de solidarité adressé à ses alliés vendus à chacune de ses prises de positions comme pour leur rappeler sa fidélité jusqu’au bout et quelqu’en soit le prix. HONTE À LUI.
Sissi zayyat
11 h 06, le 25 septembre 2021