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Politique

Pour un nouveau cabinet issu de la « révolution du 17 octobre »

Le « Rassemblement d’accompagnement de la révolution » a appelé hier à la formation d’un « gouvernement de transition » qui tirerait ses principes d’action du mouvement de contestation du 17 octobre.

Pour le rassemblement, le fait que Moustapha Adib se soit récusé est certes « un revers », mais il peut se transformer en « opportunité » pour corriger le processus qui a conduit à sa nomination. De fait, le rassemblement a appelé à « la démission des députés » et à la formation d’un gouvernement de transition qui s’inspirerait des principes de la révolution et serait doté de pouvoirs élargis. Ce gouvernement démissionnerait aussitôt qu’une nouvelle Chambre serait élue, soit un an tout au plus après sa formation, et œuvrerait en étroite coopération avec les donateurs internationaux pour sauver le Liban de l’effondrement économique.

Selon le rassemblement, « les membres du gouvernement de transition peuvent être facilement choisis parmi les membres des quelque 300 associations de la société civile révolutionnaire ».

Et le rassemblement de rappeler que, dans un premier communiqué, il avait demandé la démission du chef de l’État et celle de la Chambre, « le désarmement immédiat du Hezbollah » et la création d’une cour pour juger la classe politique.

Le « Rassemblement d’accompagnement de la révolution » a appelé hier à la formation d’un « gouvernement de transition » qui tirerait ses principes d’action du mouvement de contestation du 17 octobre.Pour le rassemblement, le fait que Moustapha Adib se soit récusé est certes « un revers », mais il peut se transformer en « opportunité »...

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