Le secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah, est revenu sur les liens entre Kassem Soleimani et le Hezbollah, dans le discours qu’il a prononcé hier, au cours d’une cérémonie en hommage au commandant de la force d’élite al-Qods tué le 3 janvier dans un raid américain à Bagdad. « Kassem Soleimani a été un acteur essentiel de la libération du Liban-Sud de l’occupation israélienne en 2000 », a-t-il dit, précisant que le général iranien était venu pour la première fois au Liban en 1998.
Il a ensuite rappelé qu’il était présent à l’été 2006 au Liban au côté du Hezbollah lors de sa confrontation avec Israël et a « contribué à l’effort de reconstruction ». « Soleimani a également participé en personne à la bataille durant l’été 2017 contre le groupe État islamique et les jihadistes » dans les jurds de Ersal, Ras-Baalbeck et de Qaa, a rappelé le leader chiite.
« Aujourd’hui, la résistance est capable d’établir un équilibre de dissuasion et de protéger le Liban. Aujourd’hui, l’ennemi (israélien) considère la résistance comme une menace existentielle », a lancé Hassan Nasrallah qui n’a pas du tout évoqué la crise économique et politique que traverse le Liban depuis plusieurs semaines.
Parce que est de là qu'on trouve la source de tous nos malheurs . Les yanky n'ont qu'à nous lâcher les basquets.
16 h 00, le 13 janvier 2020