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Culture

Le top 3 de la rédaction

Jain

Jain

Apprêtez-vous à danser, à sautiller et surtout à vous époumoner avec Jain le jeudi 1er août, sur les marches du temple de Bacchus. Cette chanteuse de pop et de musique world toulousaine, aux origines malgaches, repérée à l’adolescence par Yodelice, a sorti en 2015 son premier album Zanaka lequel, moins de quatre mois après, est sacré disque d’or avec son single Come. Son succès est très vite international et son 2e album sort en 2017. Au cours de ses diverses expériences dans les pays où elle voyage, elle découvre des musiques différentes qui sont à l’origine du métissage de ses propres compositions. Elle est nommée dans la catégorie Artiste féminine francophone de l’année aux NRJ Music Awards en 2017. Cette même année, le clip de Makeba obtient la Victoire du meilleur clip de l’année et Jain obtient la Victoire de l’artiste féminine de l’année. Son nouvel album Souldier, sorti en 2018, fait sa tournée mondiale et c’est de Baalbeck que la jeune Toulousaine lance, encore une fois, son défi au monde entier.

Jahida Wehbé

Vendredi 2 août est une soirée mystique où la dame du chant arabe mêlera les mélodies de l’Andalousie aux chants orientaux chargés d’émotion. Ce sont deux univers qui se confronteront et fusionneront : celui des mouachahat et du flamenco passionné. Jahida Wehbé qui excelle autant dans la poésie que dans le théâtre ou la musique, est née au Liban. Elle apprend à jouer du oud mais également les différentes techniques de chant : oriental, syriaque et lyrique, au Conservatoire national de musique libanais. Elle étudie aussi l’art du chant soufi, de la récitation du Coran, de la musique d’avant-garde et la composition de pièces musicales et poétiques pour théâtre. C’est sa rigueur dans le choix de son répertoire, de Bader Chaker Sayeb, à Adonis en passant par Lorca, Grass, Khalil Gebran et Darwiche, qui a contribué à bâtir la célébrité de l’artiste. Le chant de Jahida Wehbé se mariera avec l’interprétation du chanteur espagnol Melchior Campus et de la danseuse flamenco Léa Llinares.

Pour cette performance unique, elle sera également accompagnée du compositeur Omar Bashir (au oud) et de ses musiciens qu’on retrouvera sur scène du temple de Bacchus le lendemain, samedi 3 août.

« Le Requiem » de Verdi

Pour cette soirée lyrique du vendredi 26 juillet, mise sous le signe de Verdi, Baalbeck réunira, entre les colonnes du magnifique temple de Bacchus, de grands talents et des étoiles montantes de l’opéra. Il s’agit d’abord de Daniela Barcellona, cette artiste née à Trieste (Italie) dans une famille passionnée d’opéra et qui a travaillé depuis son jeune âge le chant et la danse. À ses côtés, une autre Italienne, Maria Agresta, originaire du sud de l’Italie, diplômée du conservatoire Guiseppe Martucci de Salerne et qui a obtenu ses premiers rôles en 2006. Côté hommes, le ténor italien Giorgio Berrugi dont le talent n’est plus à confirmer, se partagera la scène avec le baryton basse, le Canadien John Relyea, gagnant du prestigieux. Richard Tucker award en 2003. C’est sous la houlette de Toufic Maatouk, que le Radio orchestre de chambre roumain ainsi que la chorale de l’Université Antonine interpréteront ce concert, produit en collaboration avec l’Institut culturel italien ainsi que l’ambassade d’Italie.

Jain Apprêtez-vous à danser, à sautiller et surtout à vous époumoner avec Jain le jeudi 1er août, sur les marches du temple de Bacchus. Cette chanteuse de pop et de musique world toulousaine, aux origines malgaches, repérée à l’adolescence par Yodelice, a sorti en 2015 son premier album Zanaka lequel, moins de quatre mois après, est sacré disque d’or avec son single Come. Son...
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