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Économie - Finance

Le Liban s’est remis de la crise de novembre, estime Salamé

Le gouverneur de la Banque du Liban, Riad Salamé, a estimé dans un entretien relayé hier par le Daily Star que les réserves de la Banque centrale avait atteint leur niveau d’avant la crise de novembre 2017, soit 43 milliards de dollars. Un signe selon lui que le Liban s’est bien « remis » des répercussions de la crise, politique et diplomatique, consécutive à la démission (avortée) du Premier ministre Saad Hariri depuis Riyad dans un contexte de tensions régionales entre l’Arabie saoudite et l’Iran. Selon un rapport de Bank Audi publié en février, l’équivalent de 2,9 milliards de dollars de dépôts bancaires en livres ont été convertis suite à ces événements – soit 5 % de la masse monétaire en livres. Cette situation avait notamment obligé la BDL à puiser dans ses réserves, qui avaient atteint 41,9 milliards de dollars à fin novembre.
M. Salamé multiplie les interventions pour rassurer les investisseurs depuis la publication le 12 février d’un rapport alarmiste du FMI au sujet de la situation financière du Liban. Un rapport que le gouverneur a par ailleurs jugé trop sévère lors d’une réunion avec des représentants du secteur bancaire organisée peu de temps après sa publication.

Le gouverneur de la Banque du Liban, Riad Salamé, a estimé dans un entretien relayé hier par le Daily Star que les réserves de la Banque centrale avait atteint leur niveau d’avant la crise de novembre 2017, soit 43 milliards de dollars. Un signe selon lui que le Liban s’est bien « remis » des répercussions de la crise, politique et diplomatique, consécutive à la démission...

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