Diplômé de La Cambre à Bruxelles, Jonathan Blezard vit au Liban depuis 2014. Designer chez Solidere, enseignant à l’ALBA,
il anime divers ateliers et continue de travailler en tant qu’illustrateur indépendant à Beyrouth et à l’étranger.
Une fois par semaine, ce « raconteur d’histoires » partagera sa vision de la capitale libanaise au quotidien,
« où se déroulent des milliers de spectacles à la minute. Parce que, en tant qu’“ajnabeh”, je me positionne comme spectateur.
J’apprécie chaque détail que je saisis et, en témoin privilégié, je tente de retranscrire tout cela avec humour et poésie », promet-il.
Diplômé de La Cambre à Bruxelles, Jonathan Blezard vit au Liban depuis 2014. Designer chez Solidere, enseignant à l’ALBA, il anime divers ateliers et continue de travailler en tant qu’illustrateur indépendant à Beyrouth et à l’étranger. Une fois par semaine, ce « raconteur d’histoires » partagera sa vision de la capitale libanaise au quotidien, « où se...
J'aime ce dessin car il y a le contraste frappant entre l'architecture libanaise locale et l'architecture "moderne" internationale. Je pense qu'on pourrait faire la même observation pour l'architecture à Londres, Barcelone ou Paris, par exemple le tour "cornichon" à Londres, c'est affreux "the Gherkin". Et Paris avec la pyramide du Louvre; je n'aime pas l'architecture comme celle de Zaha Hadid etc. mais malheureusement ce sont des tendences dans l'architecture internationale; si on compare avec la belle architecture libanaise traditionelle on va en arrière sur le plan de l'architecture internationale ...
15 h 43, le 03 février 2018