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Économie - Balance des paiements

Déficit d’un milliard de dollars à fin juillet

La balance des paiements a enregistré un déficit d'un milliard de dollars à fin juillet 2017, contre un déficit de 1,4 milliard de dollars enregistré à la même période l'an dernier.
La balance des paiements recense l'ensemble des transactions commerciales, financières et monétaires internationales entre résidents et non-résidents. Ce déficit a été causé par une baisse de 2,24 milliards de dollars des avoirs étrangers nets des banques et des institutions financières, en partie compensée par une augmentation de 1,22 milliard de dollars de ceux de la Banque du Liban (BDL).

La balance des paiements a enregistré un déficit d'un milliard de dollars à fin juillet 2017, contre un déficit de 1,4 milliard de dollars enregistré à la même période l'an dernier.La balance des paiements recense l'ensemble des transactions commerciales, financières et monétaires internationales entre résidents et non-résidents. Ce déficit a été causé par une baisse de 2,24...

commentaires (2)

ET LA DETTE GRIMPE... GRIMPE... AVANT DE NOUS POUSSER DANS L,ABYSSE !

LA LIBRE EXPRESSION

15 h 37, le 21 septembre 2017

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Commentaires (2)

  • ET LA DETTE GRIMPE... GRIMPE... AVANT DE NOUS POUSSER DANS L,ABYSSE !

    LA LIBRE EXPRESSION

    15 h 37, le 21 septembre 2017

  • Déficit budgétaire, déficit commercial, déficit de la balance des payements, le pays vit au dessus de nos moyens. Excédent d’incivilité, excédent de corruption, excédent de vitesse de conduite, excédent de dépenses publiques, excédent d’inconscience des décideurs publics, etc... On applaudit les ouvertures d’entreprises futiles tel que les restaurants et plages polluées ou la constructions d’immeubles pour millionnaires inoccupés… On a des réserves d’or et de devises accumulés durant les années fastes… De quoi se plaint-on, profitez braves gens tant que çà dure, la mauvaise pente on ne veut pas la voir. Les transferts des expatriés qui renflouaient les déficits de la balance des payements se raréfient, en cause les crises dans les pays du Golfe et l’Afrique principaux pourvoyeurs de fonds. Avec des services et industries exportatrices chétives dans un monde globalisé hyper sophistiqué et hyper concurrentiel, on n’est même pas capables de gérer nos détritus. On parie sur l’extraction d’hydrocarbures hypothétiques. Ne vous alarmez pas tout va s’arranger le « miracle libanais » est là pour vous permettre de profiter de la douce vie à la libanaise. Les visiteurs cravatés de mauvaise augure du FMI et de la Banque Mondiale ne seront de passage que pour vous féliciter de votre gestion exemplaire et vous encourager à continuer de la sorte.

    Emile Antonios

    05 h 27, le 21 septembre 2017

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