Pays de 10 452 km2, unique en son genre de par son climat interne et externe, unique par son « bon voisinage », unique par son peuple, par son comportement, par sa joie de vivre, par sa nature, par ses 18 confessions, mais surtout par son Parlement.
Un Parlement qui s'auto-octroie la prérogative de prolonger son mandat deux fois. La première fois pour des raisons de stabilité et de sécurité, et la seconde fois dans un contexte de crise politique accrue.
De quel droit, pour quelles raisons et qui leur a donné le mandat de faire ces deux prolongations ?
Et disons que le peuple soit d'accord, et c'est fait... N'êtes-vous pas payés pour travailler depuis 2009 sur une nouvelle loi électorale ?
Vu que rien n'a été fait, n'est-il pas temps de rendre tous vos salaires, vos rémunérations, à la caisse du gouvernement afin de faire avec cet argent un projet profitable pour le pays !
En cherchant l'unanimité pour une loi électorale, où est la démocratie ?
Où est cette loi électorale que vous brodez ? On dirait une robe de mariée où les maris seraient les partis politiques qui doivent être en totale union pour que chacun ait et continue à avoir sa part du gâteau, surtout que le pétrole et le gaz sont à portée de main !
N'y a-t-il pas un conflit d'intérêt à choisir une loi électorale pour soi-même, vous les députés avides d'accaparer le pouvoir ?
La solution serait de constituer un comité indépendant (en dehors de tous les partis politiques) qui puisse rédiger cette loi électorale tant attendue d'une façon professionnelle et transparente.
Et pour finir, « la différence entre le politicien et l'homme d'État est la suivante : le premier pense à la prochaine élection, le second à la prochaine génération ».
Montréal
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