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Moyen Orient et Monde

Siège du FMI : la police grecque cherche comment les colis piégés ont quitté le pays

Les autorités grecques tentaient, hier, de comprendre comment un groupe anarchiste affaibli a pu ces derniers jours tromper la sécurité des aéroports du pays pour envoyer deux paquets piégés, dont l'un a blessé une employée au siège du FMI à Paris. Les deux envois, en Allemagne et en France, ne contenaient « qu'une petite quantité de poudre de la même fabrication que celle utilisée dans les pétards », a observé le ministre de la Protection civile, Nikos Toskas, hier sur la télévision Skai TV. Le premier envoi a été revendiqué par le groupe Conspiration des Cellules de feu (CCF). Celui de Paris n'a pas été revendiqué mais « de toute évidence, ils viennent de la même source, de la même organisation, ce qui reste des Cellules de feu », a souligné M. Toskas. Ce dernier a défendu les procédures de dépistage en vigueur à l'aéroport d'Athènes. « Le dépistage principal est effectué avant que l'avion soit chargé, et c'est sur ce point que se concentre notre enquête », a ajouté le ministre, soulignant qu'il n'y avait « aucun signe » de l'envoi d'autres paquets à ce stade. Mais le ministre a cependant admis qu'il allait falloir procéder à une « réévaluation » des procédures de sécurité.

Les autorités grecques tentaient, hier, de comprendre comment un groupe anarchiste affaibli a pu ces derniers jours tromper la sécurité des aéroports du pays pour envoyer deux paquets piégés, dont l'un a blessé une employée au siège du FMI à Paris. Les deux envois, en Allemagne et en France, ne contenaient « qu'une petite quantité de poudre de la même fabrication que celle utilisée...

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