Rechercher
Rechercher

Lifestyle - les potins

Quelqu’un m’a dit...

Il manquait la soupe de tortue...

Sous la houlette de la galerie Tanit et de l'Institut culturel français, les soixante-quinze « Turtles » de Ghassan Zard font du tourisme local. Après Deir el-Qamar et Byblos, ils défilent à Khan el-Franj, à Saïda. À l'invitation de Nayla Kettaneh Kunig, un nombre d'amis est venu découvrir cette armée de résine et de fibre de verre. Dans l'assistance, Zaza et Philippe Jabre, Serge Brounst, Nabil Nahas, Lina Audi, Gaby Daher, Isabelle Doumet Skaff, Maya Hatem, Élie Fayad, Amine Abou Khaled, Samir Hadchiti, Hania Rayess, Marc Audi, Nayla et Nabil Kettaneh, Tania Kettaneh, Haïfa el-Amin, Yolla Noujeim, Andrée Semmler Sfeir, Denis Louche, Fathi Zamroud, et encore. La visite de l'exposition a été suivie d'un dîner au musée Audi où Randa Abou Sleiman Baladi a saisi l'occasion pour se refaire une nouvelle mouné de savon et... de maamoul au miel dont elle a offert à tour de bras. Succulent ! Il faut dire que la boutique de Christiane Audi est bien achalandée, on y trouve le produit parfait. Et son accueil est toujours sans faille. Quant à Nicolas Audi, qui a concocté le repas ce soir-là, il est clair qu'il n'aime pas la soupe de tortue. Il lui a préféré l'agneau et le succulent riz iranien au gingembre. Un délice ! s'est exclamé César Nammour, qui reçoit les « Turtles » au musée Macam, à Alita, à partir d'après-demain jeudi et pour un long séjour. L'itinéraire vient à point : considérées comme des grigris, elles vont chasser les mauvais sorts et les mauvais génies qui planent sur le Liban.

Un anniversaire en toute discrétion

Une soixantaine d'invités se sont retrouvés à Kattine, au Kesrouan, dans le cadre magnifique de la maison de Camille et Leila Ziadé, qui donnaient un dîner en l'honneur de leur fille Lamia, de passage au Liban. L'artiste, illustratrice et auteure de Bye Bye Babylone et de Ô Nuit, Ô mes Yeux, était sans conteste la reine de la soirée. Elle n'a pas été lâchée d'une semelle par ses fans, et plus précisément par Antoine Maamari, Manal et Abraham Karabajakian, Bob Wehbé, Jean-Marc Bonfils ainsi que ses cousines Maya Ferrand et Nada el-Assaad (accompagnée d'une petite blonde affolante, qui n'est autre que sa fille Alya), son frère et sa sœur, Walid Ziadé (avec Yara) et Youmna Karam. Ils ont partagé leur repas autour d'une même table, dressée dans le jardin.
Plus haut sur la terrasse, se sont installés Madeleine Hélou, cheikh Michel el-Khoury, Hind et l'ancien ministre Maurice Sehnaoui, Mona et Joe Issa el-Khoury, Abla Lahoud, Janine Maamari, Sarah Salem, Nadine et Nagib Begdache, Randa et Maher Daouk, Mona et Youssef Lahoud, Aref Yafi, Michèle et Raymond Hakim, Gaby Abi Saab, Ali et Ambra Dabbous qui racontait à qui voulait l'entendre que Ô Nuit, Ô mes Yeux était son livre de chevet. De son côté, Yldiz Diab, follement chicissime dans sa abaya, a été le témoin des prouesses vocales de François Abi Saab qui a imité l'accent des Zghortiotes, « mes grands amis », comme il aime à le préciser. On l'a déjà dit, quand il prendra sa retraite à 90 ans, il pourra assurer un one-man-show sur toutes les planches... Mais ce n'est pas tout. Ce soir-là, Lamia a fêté son anniversaire en toute discrétion après le départ des invités. Elle a soufflé ses bougies, entourée de sa fille Lola et de ses parents.

De l'autre côté de la Méditerranée...

Cannes. Loin des mondanités de la Côte azuréenne, la maison d'été de Hana et Nabil Akkari est un espace où le couple aime se retrouver en famille avec ses filles Yara, Sara et Selma venues de New York, ou entre amis pour partager avec eux leur passion pour la gastronomie. Le dernier dîner en date a fait sensation : aux cuisines officiaient Kimiko Kinoshita, la chef pâtissière du 110 Taillevent, qui a travaillé autrefois à l'Atelier Joël Robuchon, à Saint-Germain-des-Prés, et le chef Makoto Inoue, qui a réalisé de main de maître une sublime et copieuse bouillabaisse à la japonaise, des légumes au miso, des tempura de crevettes et autres petits plats à la précision bien nippone. Accords mets et sakés – vins coordonnés évidemment. Joyeuse ivresse qui a fait arpenter le bitume d'un pas léger sur le chemin du retour à Suzan et Issam Chammas, Anne-Marie et Alexi Habib, Laura et Samir Lahoud, accompagnés de leurs fils Karim, Nadim et Ramzi, Tilda et Nemr Diab (avec Ibrahim et Joumana), Diane et Élie Yared, le Libano-Autrichien Saeb Eigner et son épouse iranienne Fariba. Randa Takieddine et Fabienne Salanic, veuve du grand avocat international Jean-Pierre Salanic, étaient d'accord pour dire que Makoto et Kimiko mériteraient plusieurs étoiles Michelin.

Au secours Raymond...

On reste, on quitte, on ne sait plus, on hésite... Qui appeler à l'aide ? Raymond Khattar. Vers qui se tourner pour sortir de l'impasse ? Iman Farès. La MEA peut être fière du travail accompli par son directeur en France, Raymond Khattar, et par sa représentante à Nice, Iman Farès. Globalement, leurs journées ne sont pas de tout repos. Les deux se démènent pour assurer aux vacanciers des places sur la ligne Nice- Beyrouth : des Libanais et Syriens qui séjournent entre Monte-Carlo et Saint-Tropez, ou en Provence, et dont les réservations de départ twistent selon leurs humeurs et caprices. Nombreux sont ceux qui parlent d'un grand secours apporté par Khattar et Farès.

À volonté, poissons, croûtons et rouille

Chez Tetou, à Golfe-Juan, le spectacle est dans la salle. Ce restaurant réputé pour sa bouillabaisse n'a plus de table disponible à offrir à sa clientèle française. Tous les jours, midi et soir, il est envahi par les Libanais, les Syriens et les Émiratis, qui, contrairement à de nombreux touristes européens et asiatiques, n'ont pas déserté la Côte d'Azur. Le maître des lieux a promis à l'un de nos amis de financer des cours de langue arabe à son équipe de serveurs.

 

ditavonbliss@hotmail.com

 

 

Il manquait la soupe de tortue...
Sous la houlette de la galerie Tanit et de l'Institut culturel français, les soixante-quinze « Turtles » de Ghassan Zard font du tourisme local. Après Deir el-Qamar et Byblos, ils défilent à Khan el-Franj, à Saïda. À l'invitation de Nayla Kettaneh Kunig, un nombre d'amis est venu découvrir cette armée de résine et de fibre de verre....

commentaires (2)

JE RAMASSE LES OEUFS DE MES TORTUES, JE LES FAIT ECLORE ET QUAND LES PETITS GRANDISSENT, UNE FOIS C,ETAIT 102 PETITES TORTUES, JE LES LACHE DANS LES MONTAGNES LOIN DES ROUTES... QUAND A CEUX QUI MANGENT CES PETITS ANIMAUX, JE LES HAIS !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

LA LIBRE EXPRESSION

13 h 59, le 23 août 2016

Tous les commentaires

Commentaires (2)

  • JE RAMASSE LES OEUFS DE MES TORTUES, JE LES FAIT ECLORE ET QUAND LES PETITS GRANDISSENT, UNE FOIS C,ETAIT 102 PETITES TORTUES, JE LES LACHE DANS LES MONTAGNES LOIN DES ROUTES... QUAND A CEUX QUI MANGENT CES PETITS ANIMAUX, JE LES HAIS !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

    LA LIBRE EXPRESSION

    13 h 59, le 23 août 2016

  • J'ai moi meme une immense collection de petites tortues et Si on est amoureux des tortues , quelle horrible idee de meme suggerer l'idee de la soupe de tortue devant une si belle expo.

    Marie-Hélène

    08 h 36, le 23 août 2016

Retour en haut