Cette semaine, nous avons rencontré Hussein, 59 ans. Son coup de gueule, en images. Photo Anne Ilcinkas
A sillonner, des heures durant, les rues embouteillées du Grand Beyrouth, connectés à la radio qui enchaîne les bulletins d'information ou abreuvés des commentaires de leurs passagers, les chauffeurs de taxi service ont souvent beaucoup à dire sur l'actualité libanaise. Et sont parfois le pouls de la rue.
Cette semaine, nous avons rencontré Hussein, 59 ans. Son coup de gueule, en images.
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Le coup de gueule d'Ayman
A sillonner, des heures durant, les rues embouteillées du Grand Beyrouth, connectés à la radio qui enchaîne les bulletins d'information ou abreuvés des commentaires de leurs passagers, les chauffeurs de taxi service ont souvent beaucoup à dire sur l'actualité libanaise. Et sont parfois le pouls de la rue.
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commentaires (3)
Des interrogations simples , on dira même que la vérité sort de la bouche des enfants , il pense simple, bien mieux que certains intellos, qui s'y croient parce que tout simplement ils ont appris à parler français. Souvent la propagande occidentale qui se veut pédagogique se retourne contre elle . Hussein l'a bien saisie.
FRIK-A-FRAK
14 h 13, le 18 avril 2016