Les Nations unies n'ont aucune objection à la levée de l'immunité d'un fonctionnaire libanais de la Finul arrêté par la Sûreté générale pour intelligence avec l'ennemi israélien.
Dans un communiqué publié hier, la Finul annonce qu'« après examen des informations transmises par les autorités libanaises, le secrétaire général de l'Onu, Ban Ki-moon, juge que les accusations lancées contre le fonctionnaire civil en question ne sont pas en rapport avec sa fonction et, de ce fait, l'immunité dont il jouit comme membre du personnel de l'Onu ne s'applique pas ».
« Les autorités libanaises ont été informées de cette décision, et le fonctionnaire en question est désormais aux mains des services concernés », ajoute le communiqué.
On rappelle que la Sûreté générale avait annoncé, dimanche, avoir arrêté trois personnes, dont un Syrien, pour espionnage au profit d'Israël.
Un Libanais, ainsi qu'un Syrien et son épouse libanaise, uniquement identifiés par leurs initiales, ont été détenus et déférés à la justice militaire, avait ajouté la Sûreté, sans davantage de détails sur leur identité ou la date de leur arrestation. Ils « ont avoué (...) avoir rassemblé des informations sur des personnalités et des objectifs sécuritaires et militaires » et avoir « filmé des routes et des lieux sensibles dans le Sud » du Liban pour les envoyer à leurs commanditaires, selon un communiqué de la Sûreté.
L'une des personnalités épiées par le réseau serait le général Abbas Ibrahim, directeur de la Sûreté générale, originaire de Kaouthariyet el-Sayad (Liban-Sud). Selon les indications disponibles, le Syrien arrêté résidait à Saïda, dans le quartier al-Qods, où se trouve aussi la résidence du cheikh sunnite Maher Hammoud, connu pour ses positions proches du Hezbollah. Les rumeurs ont vite couru que le réseau en question préparait un attentat contre le dignitaire sunnite.
Quant au fonctionnaire arrêté, il est originaire de Aïn Ebel, un village chrétien frontalier d'Israël, et serait employé par la Finul depuis 30 ans. On rappelle que la Finul est au Liban depuis 1978.
Liban - Sécurité
L’employé de la Finul soupçonné d’espionnage remis aux autorités
OLJ / le 12 novembre 2015 à 00h00
Les Nations unies n'ont aucune objection à la levée de l'immunité d'un fonctionnaire libanais de la Finul arrêté par la Sûreté générale pour intelligence avec l'ennemi israélien.Dans un communiqué publié hier, la Finul annonce qu'« après examen des informations transmises par les autorités libanaises, le secrétaire général de l'Onu, Ban Ki-moon, juge que les accusations...
commentaires (3)
Plusieurs constats qui prouvent que le hezb resistant est dans la legalite . Peu importe la communaute a laquelle appartient ce miserable ver de terre , il a faute contre le LIBAN SA DETTE SERA ENVERS TOUS LES LIBANAIS . Il a ete remis aux autorites nationales pour investigation , pourtant le bezb aurait pu lui faire la peau en douce , mais il a prefere que l'Etat s'en charge. Sa capture a ete declare par les autorites libanaises qui ont ete informees de la remise de cette fripouille par l'onu/machin . Et enfin , le meilleur pour la fin , arriver a transper(s)er les reseaux des usurpateurs de terre , faut le faire quand meme ,et avec ca on voudrait que le hezb fasse cadeau de ses acquis militaires ???? mais a qui donc ???? Celui qui gagnera cette guerre , prendra tout et rien ne sera laisser aux perdants , je souhaiterait que cela soit la resistance plutot que la bacterisation qui l'emporte . C'est mon choix !
FRIK-A-FRAK
11 h 55, le 12 novembre 2015