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Liban - Camps palestiniens

Les combats font 2 morts et 8 blessés en quelques heures à Aïn el-Héloué

La tension, qui était très palpable au camp palestinien de Aïn el-Héloué depuis déjà plusieurs jours, suite à l'assassinat samedi de l'officier du Fateh Talal Balaouneh, dit « le Jordanien », avec son garde du corps dans un quartier du camp, a dégénéré hier comme prévu. Des combats ont éclaté dans la nuit de mardi à mercredi entre le Fateh et des islamistes de Jund el-Cham, un groupuscule accusé d'avoir assassiné l'officier.
Dans les rues de Hay el-Tawarek, Safsaf, Baraksat, Taytaba, Charaa, Fawka et Tahta, à l'intérieur du camp, les combats se sont poursuivis jusqu'au petit matin, faisant deux morts, dont un membre du Fateh nommé Talal el-Maqdah et le civil Diab Mohammad el-Mohammad, et huit blessés, ainsi que des dégâts matériels dans les voitures et les maisons.
Un calme précaire a ensuite plané sur les lieux qui ont connu un intense déplacement de Palestiniens qui se sont rassemblés à l'entrée du camp ou dans les mosquées. La famille du civil tué dans les combats, Diab Mohammad, a de son côté coupé la route Fokani menant au camp, pour protester contre la mort de son fils. Pendant ce temps, des sources palestiniennes ont assuré à l'agence al-Markaziya que le groupuscule Jund el-Cham est derrière l'assassinat de l'officier Balaouneh, proche du leader de la force sécuritaire palestinienne, le général Mounir el-Maqdah, ce qui a poussé les éléments du Fateh à riposter. Une autre histoire a fait état de la prise en charge par un nouveau groupe appelé « Ahrar Fateh » de la vengeance de l'officier assassiné, en attaquant les endroits où sont présents les membres de Jund el-Cham, ce qui a déclenché les combats.
Les forces de sécurité ont arrêté pour leur part, hier, les activistes Saleh Mihari et Mohammad Chanaa, qui appartiennent au groupe Makdessi, et les ont remis aux renseignements de l'armée. Les forces islamistes sont, quant à elles, intervenues aux côtés des forces de l'ordre dans les zones de combats, pendant que l'armée renforçait ses mesures de sécurité sur les routes menant au camp, et que Jund el-Cham annonçait une mobilisation générale.
Une réunion d'urgence s'est tenue également hier au siège de l'ambassade de Palestine à Beyrouth, alors que les contacts s'intensifiaient entre les factions palestiniennes et les parties libanaises afin de calmer les tensions.

La tension, qui était très palpable au camp palestinien de Aïn el-Héloué depuis déjà plusieurs jours, suite à l'assassinat samedi de l'officier du Fateh Talal Balaouneh, dit « le Jordanien », avec son garde du corps dans un quartier du camp, a dégénéré hier comme prévu. Des combats ont éclaté dans la nuit de mardi à mercredi entre le Fateh et des islamistes de Jund...

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Israël a échoué à éliminer l'un des hauts commandants du Hezbollah et ex-prisonnier de guerre. Deux opérations sionistes, menées mercredi, en Syrie et au Liban, qui visaient, toutes deux, à assassiner " Samir al-Ghantar", commandant en chef des unités du Hezbollah, au Golan, ont échoué. La première opération israélienne a visé les hauteurs du Golan, faisant 5 morts, et la seconde a frappé la base du FPLP, à l'Est du Liban, faisant six blessés. Les deux opérations ont suscité une vague de désinformation, sur les réseaux sociaux. Cette campagne confirmait la mort du haut commandant. Il s'agit d'une fausse information, affirme les sources proches du Hezbollah. "Al-Ghantar s'était transformé en principale source d'inquiétude d'Israël, au Golan. Nous avons tué Al-Ghantar et nous sommes prêts à faire face à une riposte du Hezbollah", avait affirmé une source proche de l'armée sioniste. Sinon le hezb aurait donne la fessee aces poltrons .

FRIK-A-FRAK

17 h 14, le 30 juillet 2015

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  • Israël a échoué à éliminer l'un des hauts commandants du Hezbollah et ex-prisonnier de guerre. Deux opérations sionistes, menées mercredi, en Syrie et au Liban, qui visaient, toutes deux, à assassiner " Samir al-Ghantar", commandant en chef des unités du Hezbollah, au Golan, ont échoué. La première opération israélienne a visé les hauteurs du Golan, faisant 5 morts, et la seconde a frappé la base du FPLP, à l'Est du Liban, faisant six blessés. Les deux opérations ont suscité une vague de désinformation, sur les réseaux sociaux. Cette campagne confirmait la mort du haut commandant. Il s'agit d'une fausse information, affirme les sources proches du Hezbollah. "Al-Ghantar s'était transformé en principale source d'inquiétude d'Israël, au Golan. Nous avons tué Al-Ghantar et nous sommes prêts à faire face à une riposte du Hezbollah", avait affirmé une source proche de l'armée sioniste. Sinon le hezb aurait donne la fessee aces poltrons .

    FRIK-A-FRAK

    17 h 14, le 30 juillet 2015

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