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Liban

La réponse de Issa Goraieb au nom des trois vétérans

Le fait est que de toutes les marques d'estime que pouvait nous valoir ce parcours d'un demi-siècle – et même davantage pour ce qui est de notre fringant doyen, Christian Merville – la plus précieuse est incontestablement ce témoignage d'estime et d'affection dont nous gratifient aujourd'hui nos collègues. Car ce n'est pas seulement du cœur, mais de l'âme, que nous vient cet amical salut : l'âme d'un journal étant précisément les hommes et les femmes qui le réalisent, qui, par leur plume ou le clavier, le marquent de leur empreinte, qui lui impriment une personnalité propre et même parfois unique. Qui, génération après génération, en assurent la continuité, tant matérielle qu'intellectuelle.
Si après ce long parcours, parfois pénible mais toujours exaltant, brûle encore en nous le feu sacré, c'est qu'à défaut de comptes en banque bien garnis, nous sommes les fiers détenteurs de deux inestimables trésors. L'un d'eux est bien votre estime de professionnels, chers collègues journalistes, photographes, maquettistes, correcteurs et autres membres de la grande famille de L'Orient-Le Jour. L'autre, non moins précieuse et moins stimulante est, bien sûr, la constante, la chaleureuse fidélité de nos lecteurs.

Le fait est que de toutes les marques d'estime que pouvait nous valoir ce parcours d'un demi-siècle – et même davantage pour ce qui est de notre fringant doyen, Christian Merville – la plus précieuse est incontestablement ce témoignage d'estime et d'affection dont nous gratifient aujourd'hui nos collègues. Car ce n'est pas seulement du cœur, mais de l'âme, que nous vient cet...

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