Selon un article publié hier par The Independant et fondé à son tour sur des révélations faites par le New York Times, plus de 5 000 têtes nucléaires datant des années 1980 auraient été découvertes par les États-Unis lors de l'invasion de l'Irak en 2003. Cette découverte a été gardée secrète, jugée « embarrassante » par le gouvernement de George W. Bush qui avait accusé Saddam Hussein de posséder des armes de destruction massive récemment acquises, justifiant ainsi l'invasion de l'Irak. Ces armes sont en grande partie aux mains de l'État islamique, selon le journal, ce qui, pour des responsables militaires américains, ne posent pas problème, les armes ayant été mises hors d'état de nuire dès leur découverte, sans plus de précisions.
Moyen Orient et Monde
Des armes chimiques non déclarées par les USA à présent aux mains des jihadistes
OLJ / le 16 octobre 2014 à 00h00