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Culture - Reportage

Tripoli : sous les clichés, la culture

Nommée capitale culturelle du monde arabe en 2024, la ville du Nord regorge d’acteurs engagés au quotidien pour associer redécouverte de son héritage et revitalisation de sa culture actuelle.

Tripoli : sous les clichés, la culture

Le logo de Tripoli, capitale culturelle du monde arabe, lors de la cérémonie d'ouverture à la Foire internationale Rachid Karamé, le 24 mai 2024. Photo João Sousa

Une longue et haute porte en ferraille ocre rouge oxydé, jouxtant kebabs, stations de bus improvisées et boutiques de jus de fruits multicolores. À l’intérieur, un trésor passé et en devenir. Il faut avoir un œil créatif et rêver l’impossible pour imaginer que cet espace abandonné et poussiéreux puisse abriter un jour le premier musée de Tripoli. Ou bien connaître le potentiel perdu de la capitale du Nord au point de vouloir le raviver. « C’est l’entrée du cinéma Colorado, l'un des plus grands cinémas de Tripoli jusqu’à sa fermeture à la fin des années 1990. Nous allons le rénover pour en faire un musée visant à changer l’image de la ville et à permettre aux Tripolitains de se réapproprier leur récit », explique Nadine Alidib, codirectrice de ce projet intitulé « Allo, Trablos ? », en parcourant les travées de la salle. À ses côtés,...
Une longue et haute porte en ferraille ocre rouge oxydé, jouxtant kebabs, stations de bus improvisées et boutiques de jus de fruits multicolores. À l’intérieur, un trésor passé et en devenir. Il faut avoir un œil créatif et rêver l’impossible pour imaginer que cet espace abandonné et poussiéreux puisse abriter un jour le premier musée de Tripoli. Ou bien connaître le potentiel perdu de la capitale du Nord au point de vouloir le raviver. « C’est l’entrée du cinéma Colorado, l'un des plus grands cinémas de Tripoli jusqu’à sa fermeture à la fin des années 1990. Nous allons le rénover pour en faire un musée visant à changer l’image de la ville et à permettre aux Tripolitains de se réapproprier leur récit », explique Nadine Alidib, codirectrice de ce projet intitulé « Allo, Trablos ? », en parcourant...
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LA COURS DES MIRACLES, DE LA PAUVRETE ET DE LA MISERE TOUJOURS OUBLIEE DE L,ETAT ET DE SES ENFANTS BILLIONNAIRES, ET IL Y EN A PLUS QUE TROIS.

LA LIBRE EXPRESSION

10 h 33, le 29 mai 2024

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  • LA COURS DES MIRACLES, DE LA PAUVRETE ET DE LA MISERE TOUJOURS OUBLIEE DE L,ETAT ET DE SES ENFANTS BILLIONNAIRES, ET IL Y EN A PLUS QUE TROIS.

    LA LIBRE EXPRESSION

    10 h 33, le 29 mai 2024

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