Dans un discours commémorant la disparition de l'imam Moussa Sadr, le président de la Chambre, Nabih Berry, a affirmé que l'élection présidentielle au Liban représente une priorité nationale. "L’État ne peut pas rester sans tête, a affirmé le chef du mouvement chiite Amal. L'élection d'un président va renforcer l'unité des Libanais et nous permettra d'organiser des élections législatives qui relanceront la dynamique politique du pays et favoriseront la lutte contre le terrorisme qui frappe à nos portes".
"Le temps est venu pour resserrer nos rangs, a encore dit M. Berry. Il est temps de mettre fin à nos divergences pour sauver la coexistence et l'unité de notre pays".
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