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Lifestyle

Quelqu’un m’a dit...

Non-stop dancing pour les potes

Pour Tarek Hourani (agent exclusif de grandes marques de mobilier italien pour le M-O, basé à Abou Dhabi et à Shanghai), 2014 est une année spéciale. Il peut en effet regarder en arrière sur déjà un demi-siècle ! Mais zut, à 50 balais on est encore jeune, la preuve son anniversaire charnière a été un véritable Saturday night fever, mené à un rythme effréné par un DJ qui a mis la pression à son comble en enchaînant salsa, hip hop, electro et rock'n'roll, faisant même trémousser les plus réticents, comme Samir Hadchiti et May Tannous.... Dans un tourbillon de folie, les jambes et les bras ne pouvaient plus s'arrêter de danser. Dans la bonne humeur et le fracas de la fête, les serveurs et leurs plateaux de cocktail énergisant swinguaient dangereusement. Les potes venus de Dubaï, d'Abou Dhabi, de Riyad, d'Istanbul, de Milan, de Londres et de Shanghai hurlaient « We love Beirut », « C'est mieux qu'à Milan », « C'est plus amusant qu'à Dubaï » and « It's better than Shanghai » !
La soirée, qui s'est déroulée au restaurant péruvien Cinco (centre Sofil), a rassemblé quelque 150 invités , parmi lesquels Gaby Daher, Randa Baladi, Maya Barbir, Maha el-Chaër, l'architecte jordanien Sahel al-Hiyari, Leila et Marwan Midani, Mohammad et Carole Abou Darwiche, Serge Brunst, Rami Boutros, Mona Dabbous, Reem Chalabi, Karam et Joumana Atallah, Dany et Peggy Hitti, Violette Chammas, Boudi et Alda Chahine, Nabih et Manal Haddad, Charles et Lilianne Hajj, etc.
La veille, Tarek et un petit groupe, notamment Rana Masri, Maguy Mounsef Dalloul, Rami Boutros, René el-Am, Samir et Nathalie Beydoun, Gaby Daher et d'autres encore, ont eu leur dose d'adrénaline lors d'une soirée au Lifebar animée par deux couples de go-go dancers... chaudement applaudis avec raison : les mecs étaient bodybuildés et torse nu !
Le jeune styliste Hassan Idriss a également fêté l'anniversaire de Tarek. Mais d'une façon fort inédite. La big party organisée sur le roof de son appartement à Ras Beyrouth avait pour thème « Chantier ». Le dress code était « Sexy Dirty Scruffy ». Le décor : des slips et des maillots de corps en guise de rideaux. L'ambiance survoltée. Toute la nuit, les invités ont dansé sous les étoiles, au rythme des grands hits. Les voisins ont dû longuement gigoter dans leurs lits !

 

Beyrouth... bientôt Bollywood ?

Cinéphile, c'est génétique... Pour la 3e édition de « La nuit des Mabrouk », Maya de Freige, présidente de la Fondation Liban Cinéma, a choisi pour cadre l'hôtel Phoenicia, lieu de tournage de nombreux films avant, durant et après la guerre civile, tels Where the Spies Are avec David Niven et Échappement libre avec Jean-Paul Belmondo ou Le faussaire de Volker Schlondorff en 1980, et, plus récemment Je veux voir de Joana Hadjithomas et Khalil Joreige avec Catherine Deneuve. La soirée, qui a rassemblé les professionnels libanais du monde du cinéma et un grand nombre d'amis, a été illuminée par la grande actrice française Anne Parillaud, marraine de l'évènement, et Nadine Labaki (avec Khaled Mouzannar). Présents Lama Salam, Rony Areiji, Walid et Rola Daouk, Aimée Boulos, Hagop et Annie Kassardjian, Pierre et Adriana Doumit, Khalil et Monique Daoud, Georges et Carole Schoucair, Claude Khoury, Roland et Evelyne Abdini, Philippe Caland, Farid Abdel Nour. Il y avait également les ambassadeurs d'Espagne et de l'Union européenne, Pedro et Maryse Pico, Henri Lebreton, Nevine Imad, Dave et Maya Corm, Patrick et Noha Baz, Mounir et Roula Douaidy, Joe et Hala Saddi et Gaby Chamoun... Sans oublier toute la smala Haddad (Lucie, Gino, Mario Jr et Andrée) venue applaudir Mario à qui « La nuit des Mabrouk » a rendu hommage et dont la saga du circuit Empire a été retracée dans un documentaire réalisé par des étudiants de l'ALBA. Et avant que Zeid Hamdan, Aziza et le « Monday Blues Band » (avec à la batterie Nabil de Freige) ne rythment la nuit par des musiques de films cultes, les invités ont plongé dans un magnifique tourbillon d'images extraites des archives de l'INA et le court métrage d'Antoine Cabbabé qui relate l'exubérance et le panache de « La Grande Dame » (le Phoenicia) qui a accueilli altesses royales, chefs d'État et stars de cinéma (merveilleusement contée dans l'ouvrage de Tania Hadjithomas Mehanna). La nuit des Mabrouk est désormais une tradition bien établie.

Roger... format d3

Danser comme si vous étiez au cocobongo ? Il aurait fallu assister à la fiesta concoctée par Samer el-Ameen pour Roger Moukarzel. Le célèbre photographe, ambassadeur de Dubai Design District (d3) au Liban, accueillait dans son studio plus de 400 personnes dont 60 créateurs libanais venus rencontrer Mark Stobbs, senior marketing manager de d3, et accrocher leurs cartes de visite sur le « Tree of life », dont les branches nues se sont couvertes à la fin de la soirée des business adresses de Rana Salam, Johnny Farah, Ranya Sarakbi, Karim Chaya, Marc Baroud, David and Nicolas, Nada Debs, Nadine Kanso, Katia Traboulsi, Yasser Accaoui, Bokja, Rosa Maria, Roger Moukarzel, Sarah Beydoun, Vanina Design etc. Au menu : les cocktails de Pimp My Bar, les petites bouchées préparées par Kamal Mouzawak (Tawlet) et aux platines Caline Chidiac qui une fois de plus a validé son titre de maîtresse ès platine en embarquant les convives dans une ambiance du tonnerre...

Yepram... avec panache

Le youpiiiiiiiiiii du joaillier libano-arménien Yeprem Chakardemian et de son team – dont sa mère Zarmig, sa sœur Virna et son frère Johny – a dû s'entendre à des dizaines de mètres à la ronde. Et pour cause, les stars hollywoodiennes se sont entichées de leurs créations. Après Rihanna et Miranda Lambert qui arboraient avec panache leurs diamants l'une au gala du Met et l'autre au CMT Awards 2014, ainsi que Madonna et Katy Perry (shootée pour V Magazine), la Bomba latina J.Lo n'a pas manqué d'habiller ses doigts de bagues Yeprem lors de l'inauguration du Mondial, à l'Arena Corinthians de São Paulo !
Fondée au Liban il y a 50 ans par Yeprem Senior, la marque a fait un bon bout de chemin : elle s'expose aujourd'hui à travers le monde dans les boutiques de luxe, et aux USA dans les grands magasins de renom comme Harvey Nichols, Neiman Marcus et Bergdorf Goodman, point de ralliement de tous les passionnés du luxe, de l'élégance et de la mode. On a juste envie de hurler « Bravo » !

 

36 heures, top chrono !

Il ne voulait rien rater. Il voulait découvrir le meilleur de Beyrouth. Mais c'était impossible en un si court séjour. Le passage dans la capitale libanaise de Fabrice Bousteau, rédacteur en chef de Beaux-Arts, chroniqueur télé, s'est fait à pas de course. Après la conférence de presse de Beirut Art Fair (BAF) au cœur de laquelle il mettra en vedette les œuvres d'une trentaine d'artistes indiens (l'ambassadeur de l'Inde Anita Nayar est hyperheureuse), Bousteau a rencontré Janine Maamari, commissaire du pavillon du Liban au Singapore Art Fair 2014, Henri Lebreton, directeur de l'Institut français, Diala Choucair et Zeina Zamel, représentant la BankMed (sponsor principal de l'évènement). Puis, avec les manitous de la BAF Laure d'Hauteville, Pascal Odille, Rania Tabbara et Rania Halawi, il a déjeuné au Balthus, avant de mettre le cap au studio de Khaled Mouzannar qui lui a refilé l'adresse de son disquaire vintage pour se procurer un rare vinyle 33 tours de Feyrouz. Il a ensuite parcouru avec intérêt l'exposition de Kader Attia, en compagnie de Marie Muracciole qui vient de prendre les rênes du Beirut Art Center.
Le soir, après un copieux dîner au restaurant Abdel Wahab, Laure d'Hauteville l'a entraîné dans une folle équipée pour une exploration by night de la ville... qui s'est achevée à la party de Roger Moukarzel. Il est reparti sourd et soûl de musique. Mais il a adoooooooooré.

ditavonbliss@hotmail.com

Non-stop dancing pour les potes
Pour Tarek Hourani (agent exclusif de grandes marques de mobilier italien pour le M-O, basé à Abou Dhabi et à Shanghai), 2014 est une année spéciale. Il peut en effet regarder en arrière sur déjà un demi-siècle ! Mais zut, à 50 balais on est encore jeune, la preuve son anniversaire charnière a été un véritable Saturday night fever, mené à un rythme...
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