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Lifestyle

Quelqu'un m'a dit...

G & A piégés à Washington DC

Mission quasi Impossible de passer incognito aux bras du célibataire le plus convoité de Hollywood. Depuis la photo publiée en octobre passé, Amale Ramzi Alameddine et George Clooney ont réussi à marquer une petite victoire en échappant aux flashes des paparazzis. Même la famille (elle est parente aux Meknas, Ibrahim, Rasamny, Salman et encore) qui a passé des vacances à LA chez Clooney, est restée très discrète. Nous aussi !
Mais cette discrétion a volé en éclats : Le couple a été récemment shooté à Washington DC devant le Willard InterContinental, l'hôtel historique où Martin Luther King a écrit en 63 son célèbre discours I Have a Dream.
Quelques jours après, invité à la White House pour une projection privée de son cinquième film Monuments Men, l'acteur et réalisateur américain était accompagné de la ravissante brunette. Ce qui laisse penser que la relation entre les deux est « sans doute officielle », écrit The Mirror. Et elle ne peut que l'être puisque George Clooney a pris « le risque de froisser » son grand copain Barack Obama en amenant à la Maison-Blanche l'avocate qui a défendu Julian Assange, le fondateur de WikiLeaks. Celui-là même qui a attaqué la gouvernance américaine en publiant les documents secrets dévoilés par Edward Snowden ! Si La Maison-Blanche n'a fait aucun commentaire (selon The Mirror), Harry Ettlinger, 88 ans, ancien soldat de la Seconde Guerre mondiale qui avait fait partie de ceux qui ont inspiré le film et qui était également invité à cette projection, s'est fait un plaisir de raconter au site People qu'« ils se tenaient la main ». Des dires que confirme un autre convive pour le magazine Gala : « Ils étaient collés l'un à l'autre comme de la glu et semblaient vraiment, vraiment ensemble. »
Il reste une chose à faire pour Amale : fuir les chasseurs de clichés en amenant au plus vite « The Monument Man » au Liban. Promis, juré, il sera accueilli hot(ement) par ses milliers de fans et une centaine de barbouzes armées... de téléobjectifs.

 

 

Table fine pour Hale

Répondant à l'invitation de Randa et de Jawad Boulos, « cheikh el-Awadim » comme on l'appelle à Zghorta, Ricardo et Youmna Karam, Patrick et Noha Baz, Michel et Patty el-Murr, Elissar Boulos Kairouz se sont retrouvés subitement encadrés par une haie de body guards venus escorter David Hale, le représentant de Barack Obama en terre libanaise. Bombardé de toutes sortes de questions sur la politique locale et régionale, et sur les futurs nominés à la présidentielle, l'ambassadeur américain la joua hyperzen, rétorquant façon ping-pong à la déferlante de questions. Il donna même une tournure piquante à la conversation en passant en revue la cuisine libanaise, la cérémonie des oscars, la musique et le Festival d'al-Bustan (il est fan !), Downtown Abbey (il adooore), la Nuit des musées prévue le 28 mars... Inlassablement, les convives ont abordé des sujets divers, comme la situation économique du pays, l'action de l'Association al-Jouzour fondée par Jawad Boulos, qui répond aux besoins grandissants des familles de réfugiés syriens et des familles d'accueil libanaises dans la région du Nord. L'arrivée prochaine de Kelly Clements, chargée des affaires sociales à l'ambassade, aura pour mission de donner un coup de main aux organismes humanitaires, promet Hale.
Chahine Assi (avec Karine) a fait coucou puis est reparti, appelé en urgence pour une opération. À la table voisine, dînaient Khalil et Nayla Arab avec Majida el-Roumi.

ditavonbliss@hotmail.com

G & A piégés à Washington DC
Mission quasi Impossible de passer incognito aux bras du célibataire le plus convoité de Hollywood. Depuis la photo publiée en octobre passé, Amale Ramzi Alameddine et George Clooney ont réussi à marquer une petite victoire en échappant aux flashes des paparazzis. Même la famille (elle est parente aux Meknas, Ibrahim, Rasamny, Salman et...

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