Rechercher
Rechercher

Liban

Genève 2, seul moyen d’arrêter la violence au Liban, selon les USA

La porte-parole adjointe du département d’État, Marie Harf.

La porte-parole adjointe du département d’État américain, Marie Harf, a indiqué hier à L’Orient-Le Jour que « si nous n’arrivons pas à une solution politique le plus tôt possible, la violence continuera au Liban, en Irak et ailleurs dans la région ». Elle s’exprimait lors d’une vidéoconférence avec la presse internationale tenue simultanément à Washington et à New York dans les locaux des deux Foreign Press Centers.
C’est dans ce cadre que Marie Harf a répondu aux questions des journalistes concernant notamment la violence au Liban, le scandale de l’espionnage mondial par la NSA, l’Iran et la tension en mer de Chine. Cette première vidéoconférence est le début d’une série de points de presse que le département d’État américain a l’intention de faire pour une plus grande ouverture envers la presse internationale. Un changement est-il en train de s’opérer ?
Répondant à la question de L’Orient-Le Jour concernant la « profonde préoccupation » exprimée mercredi par le
département d’État américain sur la situation au Liban et plus particulièrement à Tripoli, et le même jour, l’interception par l’armée libanaise d’un véhicule chargé d’armes en provenance de Syrie, et priée de dire si le département d’État a mis en place de nouveaux mécanismes pour protéger le Liban des dangereux débordements de la guerre en Syrie sur ce pays, Mme Harf a répondu : « Je pense que nous avons assisté non seulement au Liban mais aussi en Irak et ailleurs à l’effet de
contagion terrible que la Syrie a eue dans la région, notamment au Liban, en Irak et dans la région. Cette situation a fait du mal non seulement au peuple syrien, mais aussi aux peuples de la région, notamment le Liban, l’Irak et ailleurs, a-t-elle ajouté. Nous allons donc continuer à travailler avec nos partenaires dans la région. Nous allons continuer à travailler avec le gouvernement libanais et avec le gouvernement irakien pour aider à renforcer leurs capacités de lutte contre le terrorisme et à gérer l’effet de débordement de la violence en Syrie », a-t-elle laissé entendre.
« Franchement, c’est pourquoi nous pensons qu’il est important que Genève 2 ait lieu, parce qu’il faut régler ce problème de manière politique, parce qu’il est clair qu’il n’y pas de solution militaire. Si nous n’arrivons pas à une solution politique le plus tôt possible, la violence continuera au Liban, en Irak et ailleurs dans la région », a conclu la porte-parole du département d’État.
La porte-parole adjointe du département d’État américain, Marie Harf, a indiqué hier à L’Orient-Le Jour que « si nous n’arrivons pas à une solution politique le plus tôt possible, la violence continuera au Liban, en Irak et ailleurs dans la région ». Elle s’exprimait lors d’une vidéoconférence avec la presse internationale tenue simultanément à Washington et à New York...

commentaires (2)

COMMENCEZ À COMPTER LES GENÈVE ! DANS CINQUANTE ANS NOUS SERONS LEURS NOMBRES !

SAKR LOUBNAN

09 h 49, le 01 novembre 2013

Tous les commentaires

Commentaires (2)

  • COMMENCEZ À COMPTER LES GENÈVE ! DANS CINQUANTE ANS NOUS SERONS LEURS NOMBRES !

    SAKR LOUBNAN

    09 h 49, le 01 novembre 2013

  • Nous sommes optimistes nous attendons Genève 3...

    M.V.

    08 h 12, le 01 novembre 2013

Retour en haut