Nazem el-Khoury, Rita Moukarzel, présidente du syndicat des professionnels des arts graphiques, et Nabila Farès, présidente d’Acsauvel, en compagnie de deux des enfants pris en charge par l’institution. Photo Dalati et Nohra
La présidence du Conseil et le ministre sortant de l’Environnement, Nazem el-Khoury, ont démenti formellement hier l’intention du Liban d’accepter que les armes chimiques syriennes soient enterrées dans son sol.
« J’ai pris contact avec le Premier ministre, aujourd’hui, pour m’assurer de la véracité de la rumeur (colportée par certains médias). Il m’a assuré que cette information est dénuée de tout fondement, précisant qu’il n’en avait pas lui-même connaissance, et que saisi éventuellement d’une demande en ce sens, le Liban s’y opposerait
catégoriquement. »
« Le Liban, a poursuivi M. Khoury en substance, et le ministère de l’Information en particulier rejettent totalement cette idée, sachant que l’enfouissement de substances chimiques toxiques se fait selon deux méthodes, l’incinération à température très élevée (1 100 degrés) ou la neutralisation chimique, deux procédés qui demandent un équipement sophistiqué inexistant au Liban. »
Et d’ajouter qu’un décret datant de 1979 réglemente l’importation au Liban de déchets toxiques. « Nous savons qu’à l’époque (1971), des barils de déchets toxiques avaient été enterrés dans le Kesrouan, et nous ne savons toujours pas s’ils ont été réexpédiés ou s’ils se trouvent toujours chez nous », a dit M. Khoury, dont on ne peut que déplorer l’ignorance sur ce plan.
La déclaration du ministre a été faite en marge d’une rencontre informelle avec la présidente, le personnel enseignant et des élèves de l’association Acsauvel qui s’occupe d’enfants à besoins spéciaux, notamment de trisomiques, et d’une délégation du département social de l’opérateur de téléphonie mobile alfa.
La compagnie, précise-t-on, patronne la production de sacs biodégradables lancée par Acsauvel. Ceux-ci seront vendus dans des grandes surfaces, et le produit de leur vente financera les ateliers spécialisés de cette institution. La cérémonie a été précédée par la projection de films documentaires sur les activités d’Acsauvel, dont le comité se signale par son dynamisme.
« J’ai pris contact avec le Premier ministre, aujourd’hui, pour m’assurer de la véracité de la rumeur (colportée par certains médias). Il m’a assuré que cette information est dénuée de tout fondement, précisant qu’il n’en avait pas lui-même connaissance, et que saisi éventuellement d’une demande en ce sens, le Liban s’y opposerait
catégoriquement. »
« Le Liban, a poursuivi M. Khoury en substance, et le ministère de l’Information en particulier rejettent totalement cette idée, sachant que l’enfouissement de substances chimiques toxiques se fait selon deux méthodes, l’incinération à température très élevée (1 100 degrés) ou la neutralisation chimique, deux procédés qui demandent un équipement sophistiqué inexistant au Liban. »
Et d’ajouter qu’un décret datant de 1979 réglemente l’importation au Liban de déchets toxiques. « Nous savons qu’à l’époque (1971), des barils de déchets toxiques avaient été enterrés dans le Kesrouan, et nous ne savons toujours pas s’ils ont été réexpédiés ou s’ils se trouvent toujours chez nous », a dit M. Khoury, dont on ne peut que déplorer l’ignorance sur ce plan.
La déclaration du ministre a été faite en marge d’une rencontre informelle avec la présidente, le personnel enseignant et des élèves de l’association Acsauvel qui s’occupe d’enfants à besoins spéciaux, notamment de trisomiques, et d’une délégation du département social de l’opérateur de téléphonie mobile alfa.
La compagnie, précise-t-on, patronne la production de sacs biodégradables lancée par Acsauvel. Ceux-ci seront vendus dans des grandes surfaces, et le produit de leur vente financera les ateliers spécialisés de cette institution. La cérémonie a été précédée par la projection de films documentaires sur les activités d’Acsauvel, dont le comité se signale par son dynamisme.
La présidence du Conseil et le ministre sortant de l’Environnement, Nazem el-Khoury, ont démenti formellement hier l’intention du Liban d’accepter que les armes chimiques syriennes soient enterrées dans son sol.« J’ai pris contact avec le Premier ministre, aujourd’hui, pour m’assurer de la véracité de la rumeur (colportée par certains médias). Il m’a assuré que cette...
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