Un responsable du ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur, qui a requis l’anonymat, a indiqué au site que « les écoles privées ont toute liberté d’enseigner la langue qu’elles veulent, qu’il s’agisse du perse, du turc ou de n’importe quelle autre, à condition de s’en tenir au cursus libanais officiel ». « Le cursus officiel du ministère est obligatoire pour les écoles privées comme publiques, poursuit le responsable. Le cursus officiel reste inchangé, il est adopté en Conseil des ministres par décret. Même le ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur ne peut le modifier sans revenir au Conseil des ministres. »
À noter, ajoute le site, que dans les écoles libanaises, il est courant d’enseigner, à part la langue arabe officielle, l’anglais et le français, ou l’une des deux langues. Les autres langues sont enseignées dans des établissements qui relèvent de pays où aucune de ces deux langues n’est officielle, comme les écoles italiennes ou allemandes par exemple, et non dans des écoles purement libanaises. Dans le monde, c’est généralement les centres culturels relevant des ambassades qui enseignent les langues officielles de leur pays.
Le hezbollah joue au perse neige ...même en été....
15 h 50, le 20 septembre 2013