Ces enfants de familles de réfugiés syriens ont littéralement les pieds dans l’eau. Les pluies ont affecté leur tente non adaptée aux caprices de la météo. Photo Michel Hallak
Les pluies diluviennes qui se sont abattues ces derniers jours au Akkar ont causé des inondations affectant les routes et les champs. Les eaux ont charrié des ordures et transformé plusieurs routes en lacs, ce qui a entravé le trafic dans ces zones. Des tentes qui abritent des familles de réfugiés syriens ont été noyées dans les eaux, et les conditions de vie déjà précaires en ont été affectées. Les habitants de la région ont demandé aux autorités de nettoyer les canalisations d’eau de pluie et les lits des fleuves, afin d’éviter les débordements. Beaucoup de promesses qui allaient en ce sens n’ont pas été tenues, selon eux.
Ali Aziz Ali, moukhtar du village de Haker Dahiri, a alerté les responsables sur le danger d’un débordement du Nahr el-Kébir (qui marque la frontière entre le Liban et la Syrie). Il dit que des travaux de prévention ont été réalisés du côté syrien, mais que la rive libanaise demeure sans aucune protection.
Ali Aziz Ali, moukhtar du village de Haker Dahiri, a alerté les responsables sur le danger d’un débordement du Nahr el-Kébir (qui marque la frontière entre le Liban et la Syrie). Il dit que des travaux de prévention ont été réalisés du côté syrien, mais que la rive libanaise demeure sans aucune protection.
Les pluies diluviennes qui se sont abattues ces derniers jours au Akkar ont causé des inondations affectant les routes et les champs. Les eaux ont charrié des ordures et transformé plusieurs routes en lacs, ce qui a entravé le trafic dans ces zones. Des tentes qui abritent des familles de réfugiés syriens ont été noyées dans les eaux, et les conditions de vie déjà précaires en ont...