Les monarchies pétrolières du Golfe ont appelé de nouveau hier à une action internationale « dissuasive » contre le régime syrien pour sa responsabilité dans l’attaque chimique du 21 août. Cet appel a été lancé par le ministre bahreïni des Affaires étrangères, cheikh Khaled al-Khalifa, à l’ouverture d’une réunion à Djeddah, en Arabie saoudite, de ses pairs du Conseil de coopération du Golfe (CCG).
Pour ce qui est de la proposition faite lundi par la Russie de placer l’arsenal chimique syrien sous contrôle international pour éviter d’éventuelles frappes des États-Unis, les six monarchies pétrolières du Golfe ont estimé qu’elle « n’arrêtera pas l’effusion du sang » des Syriens. « La question ne concerne pas un seul type d’armes. L’effusion du sang se poursuit depuis deux ans et nous réclamons que cela cesse. Nous sommes fatigués par les atermoiements et les procrastinations », a expliqué le ministre bahreïni, dont le pays assure la présidence du CCG. Les pays du CCG « demandent que cessent les souffrances du peuple syrien », a-t-il martelé alors que les monarchies (Arabie saoudite, Bahreïn, Émirats arabes unis, Koweït, Qatar et Oman) ont appuyé jusqu’ici l’idée de frappes américaines contre le régime de Bachar el-Assad.
Pour ce qui est de la proposition faite lundi par la Russie de placer l’arsenal chimique syrien sous contrôle international pour éviter d’éventuelles frappes des États-Unis, les six monarchies pétrolières du Golfe ont estimé qu’elle « n’arrêtera pas l’effusion du sang » des Syriens. « La question ne concerne pas un seul type d’armes. L’effusion du sang se poursuit depuis deux ans et nous réclamons que cela cesse. Nous sommes fatigués par les atermoiements et les procrastinations », a expliqué le ministre bahreïni, dont le pays assure la présidence du CCG. Les pays du CCG « demandent que cessent les souffrances du peuple syrien », a-t-il martelé alors que les monarchies (Arabie saoudite, Bahreïn, Émirats arabes unis, Koweït, Qatar et Oman) ont appuyé jusqu’ici l’idée de frappes américaines contre le régime de Bachar el-Assad.
Les monarchies pétrolières du Golfe ont appelé de nouveau hier à une action internationale « dissuasive » contre le régime syrien pour sa responsabilité dans l’attaque chimique du 21 août. Cet appel a été lancé par le ministre bahreïni des Affaires étrangères, cheikh Khaled al-Khalifa, à l’ouverture d’une réunion à Djeddah, en Arabie saoudite, de ses pairs du...
Je les comprend à ces familles régnantes bensaouds , elles ont investi gros et ça va partir en fumée , elles ne perdent rien pour attendre elles vont suivre le meme chemin que leur investissement , se perdre dans les sables du désert. Misérables poux.
19 h 17, le 11 septembre 2013