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Liban

Miel libanais : richesse et diversité

Entre littoral et montagnes, des cèdres du Barouk aux cerisiers de Zahlé, les ruches sont déplacées par leur « berger » en fonction d’un calendrier de floraison précis et de l’altitude des plantes.
Au printemps, les cerisiers de Zahlé donnent un miel sucré et fruité de couleur claire. Le miel de printemps se récolte aussi sur le littoral, où les abeilles butinent les agrumes. Ces miels cristallisent après un ou deux ans, mais restent comestibles des années durant.
Les ruchers sont ensuite à nouveau déplacés (de nuit, afin que toute les abeilles soient dans la ruche) plus en altitude. D’abord sur les hauteurs de Jounieh (à 900 mètres d’altitude environ) par exemple, les abeilles produisent le traditionnel miel de chêne, plus foncé et au goût boisé.
En avançant dans les saisons, on monte encore en altitude en récoltant du miel de néflier et d’autres plantes épineuses de haute montagne. Ailleurs, dans les montagnes moyennes qui surplombent la Békaa (environ 1 100 mètres), on récolte le miel d’aubépine. C’est un miel rare et « très spécial », d’après Marc Bounassis qui le commercialise à L’Atelier du miel.
Entre littoral et montagnes, des cèdres du Barouk aux cerisiers de Zahlé, les ruches sont déplacées par leur « berger » en fonction d’un calendrier de floraison précis et de l’altitude des plantes.Au printemps, les cerisiers de Zahlé donnent un miel sucré et fruité de couleur claire. Le miel de printemps se récolte aussi sur le littoral, où les abeilles butinent les...

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