M.M. comme...
Marilyn Monroe ? Michèle Morgan ? Mireille Mathieu ? Eh non ! Vingt-deux collections de prêt-à-porter plus tard, Milia Maroun s’est décidée à devenir actrice à part entière sur la scène internationale de l’habit féminin. Sa résolution a séduit Khaled Zeidan, directeur général de MedSecurities Investment, une filiale de la BankMed. Ce monsieur Zeidan veut ainsi ajouter à son champ d’action la marque milia m. et participer de façon décisive au rayonnement international de la Lebanese touch. Il va devenir son organisateur et agent de placement avec, à la clé, un nouvel apport de capitaux pour la marque. « Cette transaction reconfirme l’intérêt du capital privé pour les talents libanais et en particulier le secteur du design qui, à notre avis, est encore à son stade embryonnaire et a de belles perspectives de croissance à venir, souligne-t-il. (...) milia m. constitue un exemple parfait de l’évolution considérable du rôle des femmes au sein des entreprises libanaises. » Tout est dit ! Surtout que depuis sa création, la marque s’exporte dans de multiples pays, notamment en France, en Espagne, au Royaume-Uni, aux États-Unis, en Malaisie, en Corée du Sud, à Taïwan, au Venezuela, en Australie, en Arabie saoudite, aux Émirats arabes unis, en Jordanie, au Koweït, au Kazakhstan et au Sénégal. Par ailleurs, la nomination à la direction de milia m. de Carine Kassir, titulaire d’un MBA de l’Insead et forte d’une carrière dans le lancement et la croissance des entreprises, vient consolider cette mise en marche. Allez, on croise les doigts !
Faut-il, faut-il pas ?
Avec le Festival al-Bustan, les nuits de février et de mars ne sont pas faites pour pantoufler ou dormir. Une liste de 10 bonnes raisons d’y aller circule sur le web, in English, et nous en avons pioché et traduit à notre manière quelques-unes !
Définitivement, la musique a un pouvoir karmique et ça rend heureux... Elle nous fait entrevoir un autre monde, des éléphants roses, des univers ouatés et champagnisés, elle nous fait oublier la violence, la misère et le marasme politique qui dévastent notre quotidien. Les grands sourires s’affichent, les yeux pétillent, les âmes s’envolent allegro à la rencontre des compositeurs des différentes époques et des interprètes talentueux. Façon subliminale de combattre le blues de l’hiver, de se libérer des pressions et d’un stress qui atteint des proportions pandémiques. Adieu Xanax, Lexo et consorts ; ce soir-là, main dans la main, on affiche notre nouvelle conquête, notre plus belle tenue, et on étale nos connaissances musicales. Reste le plus important : voir mais surtout être vu(e) ! Partout : dans la salle du concert, au bar, au resto... Alors, faut-il y aller ? Oui ? Non ? Peut-être ? Eh bien, définitivement oui, parce que c’est l’endoctrinement à la musique et au beau que nous revendiquons pour le Liban. Les festivals, les galeries, les théâtres, les librairies restent la vitrine d’excellence de ce pays.
Truffes du lac à NDJ
Dominique Gauthier, le chef du restaurant Le Chat botté, l’une des plus belles tables gastronomiques de la ville de Genève, qui a reçu pour la quatrième année consécutive un 18 sur 20 au Gault-Millau 2012 et une étoile au Guide Michelin 2010, a investi avec ses quatre aides cuisiniers l’atelier de Nicolas Audi pour concocter le dîner de gala annuel du Centre sportif et culturel du Collège Notre-Dame de Jamhour. Les accros aux truffes ont eu de quoi se réjouir : ce champignon ascomycète ectomycorhizien rapporté par le chef Gauthier des bords de son lac était présent dans tous les plats, de l’apéritif au dessert. Une véritable orgie, qui a comblé les papilles de 150 invités, notamment l’ambassadrice de Suisse Ruth Flint, Fouad el-Khazen, Raymond et May Audi, Étienne et Corinne Debbané, François et Gaby Abi Saab, Antoine et Janine Maamari, Robert et Viviane Ghanem, Fouad Kamel, Marlène Chidiac, Abed Tabbara, Nada Safa, Mario Haddad, Marianne Hélou, Hala et Georges Nour, Edgar et Monette Chaaya, Micheline Abi Samra, Papou Lahoud, etc. Sans oublier Ivan Rivier, directeur général du Beau-Rivage Genève, venu spécialement pour l’occasion, et les two brothers Rami et Dave Corm, dont la collection de peintures de grand’pa Daoud est accrochée aux cimaises du centre. Ces œuvres, présentées par Saleh Barakat et Marie Tomb, ont pu être admirées par les convives avant le dîner.
C’était une belle soirée : le président et la vice-présidente du Centre sportif et culturel Samir Abillamaa et Joumana Hobeika se frottent encore les mains.
ditavonbliss@hotmail.com
Marilyn Monroe ? Michèle Morgan ? Mireille Mathieu ? Eh non ! Vingt-deux collections de prêt-à-porter plus tard, Milia Maroun s’est décidée à devenir actrice à part entière sur la scène internationale de l’habit féminin. Sa résolution a séduit Khaled Zeidan, directeur général de MedSecurities Investment, une filiale de la BankMed. Ce monsieur Zeidan veut ainsi ajouter à son champ d’action la marque milia m. et participer de façon décisive au rayonnement international de la Lebanese touch. Il va devenir son organisateur et agent de placement avec, à la clé, un nouvel apport de capitaux pour la marque. « Cette transaction reconfirme l’intérêt du capital privé pour les talents libanais et en particulier le secteur du design qui, à notre avis, est encore à son stade embryonnaire et a de belles perspectives de croissance à venir, souligne-t-il. (...) milia m. constitue un exemple parfait de l’évolution considérable du rôle des femmes au sein des entreprises libanaises. » Tout est dit ! Surtout que depuis sa création, la marque s’exporte dans de multiples pays, notamment en France, en Espagne, au Royaume-Uni, aux États-Unis, en Malaisie, en Corée du Sud, à Taïwan, au Venezuela, en Australie, en Arabie saoudite, aux Émirats arabes unis, en Jordanie, au Koweït, au Kazakhstan et au Sénégal. Par ailleurs, la nomination à la direction de milia m. de Carine Kassir, titulaire d’un MBA de l’Insead et forte d’une carrière dans le lancement et la croissance des entreprises, vient consolider cette mise en marche. Allez, on croise les doigts !
Faut-il, faut-il pas ?
Avec le Festival al-Bustan, les nuits de février et de mars ne sont pas faites pour pantoufler ou dormir. Une liste de 10 bonnes raisons d’y aller circule sur le web, in English, et nous en avons pioché et traduit à notre manière quelques-unes !
Définitivement, la musique a un pouvoir karmique et ça rend heureux... Elle nous fait entrevoir un autre monde, des éléphants roses, des univers ouatés et champagnisés, elle nous fait oublier la violence, la misère et le marasme politique qui dévastent notre quotidien. Les grands sourires s’affichent, les yeux pétillent, les âmes s’envolent allegro à la rencontre des compositeurs des différentes époques et des interprètes talentueux. Façon subliminale de combattre le blues de l’hiver, de se libérer des pressions et d’un stress qui atteint des proportions pandémiques. Adieu Xanax, Lexo et consorts ; ce soir-là, main dans la main, on affiche notre nouvelle conquête, notre plus belle tenue, et on étale nos connaissances musicales. Reste le plus important : voir mais surtout être vu(e) ! Partout : dans la salle du concert, au bar, au resto... Alors, faut-il y aller ? Oui ? Non ? Peut-être ? Eh bien, définitivement oui, parce que c’est l’endoctrinement à la musique et au beau que nous revendiquons pour le Liban. Les festivals, les galeries, les théâtres, les librairies restent la vitrine d’excellence de ce pays.
Truffes du lac à NDJ
Dominique Gauthier, le chef du restaurant Le Chat botté, l’une des plus belles tables gastronomiques de la ville de Genève, qui a reçu pour la quatrième année consécutive un 18 sur 20 au Gault-Millau 2012 et une étoile au Guide Michelin 2010, a investi avec ses quatre aides cuisiniers l’atelier de Nicolas Audi pour concocter le dîner de gala annuel du Centre sportif et culturel du Collège Notre-Dame de Jamhour. Les accros aux truffes ont eu de quoi se réjouir : ce champignon ascomycète ectomycorhizien rapporté par le chef Gauthier des bords de son lac était présent dans tous les plats, de l’apéritif au dessert. Une véritable orgie, qui a comblé les papilles de 150 invités, notamment l’ambassadrice de Suisse Ruth Flint, Fouad el-Khazen, Raymond et May Audi, Étienne et Corinne Debbané, François et Gaby Abi Saab, Antoine et Janine Maamari, Robert et Viviane Ghanem, Fouad Kamel, Marlène Chidiac, Abed Tabbara, Nada Safa, Mario Haddad, Marianne Hélou, Hala et Georges Nour, Edgar et Monette Chaaya, Micheline Abi Samra, Papou Lahoud, etc. Sans oublier Ivan Rivier, directeur général du Beau-Rivage Genève, venu spécialement pour l’occasion, et les two brothers Rami et Dave Corm, dont la collection de peintures de grand’pa Daoud est accrochée aux cimaises du centre. Ces œuvres, présentées par Saleh Barakat et Marie Tomb, ont pu être admirées par les convives avant le dîner.
C’était une belle soirée : le président et la vice-présidente du Centre sportif et culturel Samir Abillamaa et Joumana Hobeika se frottent encore les mains.
ditavonbliss@hotmail.com
M.M. comme... Marilyn Monroe ? Michèle Morgan ? Mireille Mathieu ? Eh non ! Vingt-deux collections de prêt-à-porter plus tard, Milia Maroun s’est décidée à devenir actrice à part entière sur la scène internationale de l’habit féminin. Sa résolution a séduit Khaled Zeidan, directeur général de MedSecurities Investment, une filiale de la BankMed. Ce monsieur Zeidan veut ainsi...
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