Le Premier ministre Nagib Mikati a inauguré hier au BIEL le 56e Salon arabe international du livre, organisé par le Club culturel arabe et la fédération des maisons d’édition au Liban.
Dans son allocution, le Premier ministre a rappelé que « le Liban est le phare de la pensée et de la culture, de l’innovation et de la liberté ». Dans ce contexte, « nous nous retrouvons aujourd’hui pour appuyer la coexistence, l’ouverture et la modération », a-t-il précisé, rappelant que « la modération restera la base de cette patrie et le secret de sa pérennité ».
Reconnaissant la précarité de la situation actuelle, Nagib Mikati a estimé que la seule garantie contre l’importation des bouleversements régionaux au Liban est « d’opter pour le centrisme ». « L’unité nationale, messieurs, n’est pas un choix mais un devoir (...). La modération est une vertu et non un moyen de fuir une situation ou d’éviter de prendre position. Le centrisme est un choix sage et rationnel, qui n’équivaut pas à la neutralité, mais incarne un parti pris pour la patrie et pour tout ce qui unit les Libanais. »
Dans cette logique, le Premier ministre a affirmé que « la patrie ne saurait être édifiée sur une volonté de surpasser l’État, de le contourner ou de le boycotter ; ni sur quelque pari sur les changements régionaux. La nation ne se fonde pas sur une implication dans des événements extérieurs mais sur une politique de distanciation ». Il a enfin appelé à « un dialogue sans tabous », estimant en résumé qu’ « un seul principe doit prévaloir : l’impossibilité d’exclure, d’éliminer ou de boycotter l’autre ».
Dans son allocution, le Premier ministre a rappelé que « le Liban est le phare de la pensée et de la culture, de l’innovation et de la liberté ». Dans ce contexte, « nous nous retrouvons aujourd’hui pour appuyer la coexistence, l’ouverture et la modération », a-t-il précisé, rappelant que « la modération restera la base de cette patrie et le secret de sa pérennité ».
Reconnaissant la précarité de la situation actuelle, Nagib Mikati a estimé que la seule garantie contre l’importation des bouleversements régionaux au Liban est « d’opter pour le centrisme ». « L’unité nationale, messieurs, n’est pas un choix mais un devoir (...). La modération est une vertu et non un moyen de fuir une situation ou d’éviter de prendre position. Le centrisme est un choix sage et rationnel, qui n’équivaut pas à la neutralité, mais incarne un parti pris pour la patrie et pour tout ce qui unit les Libanais. »
Dans cette logique, le Premier ministre a affirmé que « la patrie ne saurait être édifiée sur une volonté de surpasser l’État, de le contourner ou de le boycotter ; ni sur quelque pari sur les changements régionaux. La nation ne se fonde pas sur une implication dans des événements extérieurs mais sur une politique de distanciation ». Il a enfin appelé à « un dialogue sans tabous », estimant en résumé qu’ « un seul principe doit prévaloir : l’impossibilité d’exclure, d’éliminer ou de boycotter l’autre ».
Le Premier ministre Nagib Mikati a inauguré hier au BIEL le 56e Salon arabe international du livre, organisé par le Club culturel arabe et la fédération des maisons d’édition au Liban.Dans son allocution, le Premier ministre a rappelé que « le Liban est le phare de la pensée et de la culture, de l’innovation et de la liberté ». Dans ce contexte, « nous nous retrouvons...
On savait qu'il était très riche le gars notre PM, mais... c'est qu'il excelle dans la tchatche aussi! ce qui est marrant dans le personnage, c'est que plus il y a de la merde autour lui plus il a l'esprit poétique. Ce n'est pas n'importe qui le chef du cabinet! Il faut dire que sa bonne humeur vient aussi du fait que son prédécesseur à l'aspect des terres désertiques des ben saoud (et pas que l'aspect), vient de faire un plongeon tête en avant dans la gadoue avec l'affaire sakr... ce qui a pour conséquence de le rendre infréquentable , ainsi que son éloignement définitif d'un hypothétique retour au beau palais du grand sérail.
16 h 54, le 04 décembre 2012