La Ligue arabe préconise un « accord a minima » entre les Grands
OLJ / le 29 octobre 2012 à 23h52
L’ambassadeur de la Ligue arabe en France Nassif Hitti a préconisé hier un « accord a minima » entre les grandes puissances, indispensable selon lui pour parvenir à résoudre la crise syrienne. « Si on n’arrive pas à créer un accord a minima entre les Grands, les amis des deux parties (gouvernement syrien et opposition), nous ne pourrons jamais démarrer, sur une base solide, un processus politique de transition ordonnée et accompagnée », a déclaré l’ambassadeur. Évoquant une « guerre par procuration en Syrie qui peut durer encore longtemps », M. Hitti a rappelé que « la crise syrienne était prise au piège d’autres conflits dans la région ». Selon M. Hitti, comme base de discussions, « il faut revenir à l’accord-cadre de Genève (du 30 juin 2012) et le faire avancer ». « Il faut revenir sur Genève et travailler sur cet accord qui était un bon départ », a-t-il insisté, rappelant qu’il prévoit « la formation d’une autorité de gouvernement transitoire (...) où les deux parties seraient représentées pour un vrai changement ».
L’ambassadeur de la Ligue arabe en France Nassif Hitti a préconisé hier un « accord a minima » entre les grandes puissances, indispensable selon lui pour parvenir à résoudre la crise syrienne. « Si on n’arrive pas à créer un accord a minima entre les Grands, les amis des deux parties (gouvernement syrien et opposition), nous ne pourrons jamais démarrer, sur une base solide, un...
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