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« Ta seule ligne rouge était ton amour pour la patrie... »

Le général Rifi dans la mosquée Mohammad al-Amine aux côtés des fils du général el-Hassan et du mufti de la Békaa Khalil el-Maïs. Ahmad Jadallah/Reuters

C’est un hommage soutenu, empreint d’une intense émotion, que le directeur général des FSI, Achraf Rifi, a rendu au défunt, Wissam el-Hassan : « Notre héros martyr, tu as réchappé de la mort le 14 février 2005, mais aujourd’hui, tu fais partie du cortège des martyrs. »
« Mon cher Wissam, a-t-il poursuivi, je suivais ton travail au quotidien, tu travaillais au bord du précipice, tu n’avais pas peur des dangers, et ta seule ligne rouge était ton amour pour la patrie. » Le général Rifi a, de plus, salué l’œuvre du général el-Hassan qui a « bâti l’école du travail sécuritaire ». Il a également salué le héros martyr qui a réussi à former des hommes d’un grand professionnalisme. « Rassure-toi, lui a-t-il dit, ces hommes poursuivront le processus et nous confronterons tout ce qui portera atteinte à la sécurité. »
Achraf Rifi a fait part de la confiance du peuple libanais pour le défunt. « Ils avaient confiance dans tes capacités et ton expérience. Tu as suivi l’enquête internationale, joué un rôle de taille dans le dossier criminel et découvert des réseaux d’espionnage. Tu as aussi découvert 24 explosifs qui étaient prêts à exploser », a-t-il affirmé. Et de regretter qu’après avoir fait leurs adieux à leur premier Wissam (Eid), les FSI font aujourd’hui leurs adieux à leur second Wissam. « Nous sommes fiers de toi », a-t-il souligné, indiquant que ce martyr est une réponse aux terroristes. Il a enfin salué celui qui protégeait Rafic Hariri durant les années quatre-vingt. « Aujourd’hui, tu as protégé la nation. » Avant de conclure qu’il voyait en lui le dirigeant de l’institution des FSI. « Mais tes ambitions étaient bien plus importantes. »
C’est un hommage soutenu, empreint d’une intense émotion, que le directeur général des FSI, Achraf Rifi, a rendu au défunt, Wissam el-Hassan : « Notre héros martyr, tu as réchappé de la mort le 14 février 2005, mais aujourd’hui, tu fais partie du cortège des martyrs. » « Mon cher Wissam, a-t-il poursuivi, je suivais ton travail au quotidien, tu travaillais au bord...

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