Olivier Adam.
Interrogés par l’institut I+C, 321 libraires de divers secteurs (grandes et petites librairies indépendantes, grandes surfaces culturelles) ont mis en avant 138 romans français sur un total de 426 parus à la rentrée et 84 romans étrangers sur 220.
C’est donc un bon tiers de la production qu’ils ont apprécié dans une rentrée «particulièrement riche et variée» à leurs yeux, écrit
Livres Hebdo.
Contrairement à la critique et aux jurés des prix littéraires, qui ont boudé Les lisières, les libraires, quels que soient leur âge, leur sexe ou la catégorie de leur point de vente, ont placé l’ouvrage largement en tête de leurs romans français préférés.
Le roman d’Olivier Adam est suivi dans l’ordre par Le sermon sur la chute de Rome de Jérôme Ferrari (Actes Sud), Pour seul cortège de Laurent Gaudé (Actes Sud), La vie d’Ernesto G. de Jean-Michel Guénassia (Albin Michel) et Oh... de Philippe Djian
(Gallimard).
Ils ont aussi eu le coup de foudre pour trois premiers romans: La déesse des petites victoires de Yannick Grannec (Anne Carrière), à la 12e place, La théorie de l’information d’Aurélien Bellanger (Gallimard), à la 16e, et Viviane Élisabeth Fauville (Minuit) de Julia Deck, à la 19e.
En littérature étrangère, le coup de cœur des libraires est allé à Home, le magistral roman de la prix Nobel de littérature, l’Américaine Toni Morrison.
Mais ils ont également beaucoup aimé chez Zulma L’embellie, le nouveau livre de l’Islandaise Audur Ava Olafsdottir, dont ils avaient adoré Rosa Candida en 2010, et qui caracole à la 2e place.
Les libraires ont aussi apprécié des ouvrages d’auteurs moins connus: Le monde à l’endroit de Ron Rash (3e), au Seuil, Arrive un vagabond de Robert Goolrick (4e) chez Anne Carrière, Certaines n’avaient jamais vu la mer de Julie Otsuka (5e), chez Phébus, ou Qu’avons-nous fait de nos rêves de Jennifer Egan (6e), dont Stock a publié le premier roman en français.
C’est donc un bon tiers de la production qu’ils ont apprécié dans une rentrée «particulièrement riche et variée» à leurs yeux, écrit
Livres Hebdo.
Contrairement à la critique et aux jurés des prix littéraires, qui ont boudé Les lisières, les libraires, quels que soient leur âge, leur sexe ou la catégorie de leur point de vente, ont placé l’ouvrage largement en tête de leurs romans français préférés.
Le roman d’Olivier Adam est suivi dans l’ordre par Le sermon sur la chute de Rome de Jérôme Ferrari (Actes Sud), Pour seul cortège de Laurent Gaudé (Actes Sud), La vie d’Ernesto G. de Jean-Michel Guénassia (Albin Michel) et Oh... de Philippe Djian
(Gallimard).
Ils ont aussi eu le coup de foudre pour trois premiers romans: La déesse des petites victoires de Yannick Grannec (Anne Carrière), à la 12e place, La théorie de l’information d’Aurélien Bellanger (Gallimard), à la 16e, et Viviane Élisabeth Fauville (Minuit) de Julia Deck, à la 19e.
En littérature étrangère, le coup de cœur des libraires est allé à Home, le magistral roman de la prix Nobel de littérature, l’Américaine Toni Morrison.
Mais ils ont également beaucoup aimé chez Zulma L’embellie, le nouveau livre de l’Islandaise Audur Ava Olafsdottir, dont ils avaient adoré Rosa Candida en 2010, et qui caracole à la 2e place.
Les libraires ont aussi apprécié des ouvrages d’auteurs moins connus: Le monde à l’endroit de Ron Rash (3e), au Seuil, Arrive un vagabond de Robert Goolrick (4e) chez Anne Carrière, Certaines n’avaient jamais vu la mer de Julie Otsuka (5e), chez Phébus, ou Qu’avons-nous fait de nos rêves de Jennifer Egan (6e), dont Stock a publié le premier roman en français.
Interrogés par l’institut I+C, 321 libraires de divers secteurs (grandes et petites librairies indépendantes, grandes surfaces culturelles) ont mis en avant 138 romans français sur un total de 426 parus à la rentrée et 84 romans étrangers sur 220.C’est donc un bon tiers de la production qu’ils ont apprécié dans une rentrée «particulièrement riche et variée» à leurs...
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