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Culture

« Edict Records », un label qui monte

Les organisateurs l’avaient annoncé l’année dernière au Tournesol. Aujourd’hui, c’est fait. « Edict Records » a son label et déjà deux albums à son actif.

À la tête de cette initiative, Khaled Yassine, percussionniste bien implanté dans le paysage musical libanais qui, avec une poignée d’amoureux de la musique, a tout fait pour qu’Edict Records, cette nouvelle société de production musicale, voit le jour.
L’an dernier, sur les planches du Tournesol, trois concerts ont été organisés portant ce label : celui de Tarek Yamani, qui a présenté Ashur en compagnie de Kristijan Krajncan aux percussions et Goran Krmac au tuba; le duo Khaled Yassine aux percussions et Élie Khoury (oud/bouzouk); ainsi que Basel Rojoub. Trois spectacles différents, dont le seul point commun est la réalisation «live» et par conséquent improvisée.
Actuellement deux albums sont déjà dans les bacs (celui de Yamani et de l’ensemble Kristijan Krajncan, en attendant deux autres en cours). Derrière cette pochette blanche portant un logo noir bien défini, des rêves et des défis. Fier de ce projet prometteur Yassine s’explique: «La ligne de conduite d’Edict Records, label indépendant, est d’être une plateforme vivante de tous les talents libanais et du monde arabe. Elle met en avant cette musique encore méconnue ou mal connue dans cette partie de la planète. C’est la première fois qu’une société de production s’investit dans le lancement de la musique principalement acoustique, improvisée, allant du jazz à l’oriental.»
Edict Records est une société jeune (née en 2011), mais avec plein de projets dans la tête. Le risque est grand (puisqu’elle se subventionne elle-même) et le défi encore plus (dans un pays où l’on accorde peu d’importance à de telles initiatives), mais le fondateur est confiant. «Il y a un potentiel énorme à développer de ce côté et la société est prête à mettre en avant et à valoriser tous ceux qui ont un projet musical qu’ils n’arrivent pas encore à développer.»
Outre les deux albums qui vont sortir en 2013, Edict Records annoncera en temps voulu ses spectacles... vivants.
À la tête de cette initiative, Khaled Yassine, percussionniste bien implanté dans le paysage musical libanais qui, avec une poignée d’amoureux de la musique, a tout fait pour qu’Edict Records, cette nouvelle société de production musicale, voit le jour. L’an dernier, sur les planches du Tournesol, trois concerts ont été organisés portant ce label : celui de Tarek...

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