Par ailleurs, un des avocats de la défense, Sakhr el-Hachem, a démenti les informations sur son retrait de l’affaire, « un retrait que rien ne justifie », selon lui.
Au niveau des réactions, Jamil Sayyed, un des quatre généraux arrêtés dans le cadre de l’enquête sur l’assassinat du Premier ministre Rafic Hariri, le général, a réitéré ses attaques contre le directeur des services de renseignements des Forces de sécurité intérieure, le général Wissam el-Hassan, « qui répand dans les médias des informations sur ma présence dans le véhicule de Michel Samaha au poste frontalier de Masnaa ». « Cette voiture, de type Audi, n’a pas de place pour deux personnes », a-t-il souligné, rappelant à l’occasion « l’absence louche de Wissam el-Hassan du convoi de Rafic Hariri, le jour même de son assassinat ». De son côté, le député des Forces libanaises Chant Jinjinian a estimé que « les mandats d’arrêt que le régime syrien prépare contre nombre de personnalités politiques libanaises, pour soutien au terrorisme en Syrie, ne sont que des mesures vindicatives en réponse à l’arrestation de Samaha ».
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