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Culture

Le Liban au Fifog

La 7e édition du Festival international du film oriental de Genève, organisée par l’association Fifog en collaboration avec des partenaires œuvrant pour la promotion du cinéma, de la diversité et du dialogue culturels, se tiendra du 28 avril au 6 mai 2012 aux Cinémas du Grütli, à Versoix, à Lausanne, et en France-voisine (Gex).
Elle annonce quelque 100 films, 50 invités, plus de 20 lieux de projection et trois compétitions avec une participation libanaise..
Côté libanais, donc, c’est Le Z Link de Zahi Haddad qui a collaboré à la sélection des films libanais suivants qui seront projetés les 4 et 5 mai.

« Un homme d’honneur » de Jean-Claude Codsi

Brahim vend des voitures dans son « Brahim Auto Parc » au Liban. Il vit seul et mal. Brahim retrouve par hasard Leila. C’est à cause d’elle que, 20 ans plus tôt, il a commis un meurtre en Jordanie. Sa rencontre avec elle le décide à rentrer en Jordanie y affronter son passé et les siens.

« Balle perdue » de Georges Hachem

Eté 1976, Beyrouth. Noha est sur le point de se marier. Sa famille est soulagée de la voir saisir cette dernière chance avant de devenir officiellement vieille fille, tout comme sa sœur. Tout semble se dérouler dans le meilleur des mondes, mais, en ce dimanche d’août, à quinze jours du mariage, alors que son frère aîné organise un dîner en son honneur, Noha change d’avis.

« Et maintenant,  où va où ? » de Nadine Labaki

Dans un village du Liban, chrétiens et musulmans vivent ensemble depuis toujours. Les femmes pleurent chacune un frère, un enfant. Quand elles entendent qu’une échauffourée a tourné au conflit religieux dans un autre village, elles improvisent des façons de brouiller l’information. Les tensions religieuses commencent alors à apparaître entre les hommes du village.

« Blue Line » d’Alain Sauma

Une vache libanaise, qui se désaltère dans une mare traversée par la « ligne bleue », s’avance un peu trop et s’enlise du côté israélien. Du haut de son poste d’observation, un soldat du contingent indien de l’ONU va tout tenter pour sauver cette vache, sacrée à ses yeux.

« Beirut, My Heart » de Sabah Haïder

Une femme suit son amour à Beyrouth, mais, après que l’homme qu’elle aime disparaît sans explications, elle se retrouve seule, en plein questionnement. Petit à petit, elle fait son deuil, guidée par la voix d’un poète mystérieux qui lui permet de retrouver la paix. Dans son journal, elle raconte son histoire à celui qui lui a brisé le cœur.

« Us, the Moon and the Neighbors » de Mohammad Rifaï

« Mon histoire est un aperçu de la chaotique société libanaise dans laquelle nous vivons, que j’ai située entre une rue et un immeuble. Elle se termine par ma fuite de ce monde et la création de ma propre réalité. »

« La Mort est dans  le champ » de Patrick Chappatte et Marco Dellamula

Certains conflits continuent de tuer après le cessez-le-feu. La guerre qui a opposé Israël et le Hezbollah en 2006 a laissé au Sud-Liban des bombes à sous-munitions qui représentent une menace pour la vie et les moyens de subsistance de la population. Sous la forme
d’un carnet de voyage, ce documentaire d’animation traite des conséquences humanitaires des bombes à sous-munitions.
La 7e édition du Festival international du film oriental de Genève, organisée par l’association Fifog en collaboration avec des partenaires œuvrant pour la promotion du cinéma, de la diversité et du dialogue culturels, se tiendra du 28 avril au 6 mai 2012 aux Cinémas du Grütli, à Versoix, à Lausanne, et en France-voisine (Gex). Elle annonce quelque 100 films, 50 invités,...

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