Un homme jugé pour avoir coupé le sexe de l’amant de sa compagne
Un homme de 38 ans sera jugé jeudi et vendredi en France pour avoir agressé au cutter l’amant de sa compagne en lui coupant le sexe, une mutilation à l’origine de traumatismes multiples chez la victime.
Le 23 octobre 2008 au matin, Blaise Fragione appelle les secours depuis son domicile marseillais. Il explique avoir eu un différend avec son rival F., l’avoir assommé, puis ôté son pantalon et son slip avant de lui sectionner le pénis avec un cutter et de le jeter dans les toilettes. L’examen médical confirmera qu’avec un tel instrument, il est possible de sectionner l’organe « avec une force minime, voire négligeable, un seul coup pouvant suffire ». Les deux protagonistes ont des versions des faits différentes. Selon l’accusé qui dit avoir « pété un plomb », F. était venu lui avouer sa relation avec « Mado », sa concubine depuis 14 ans et mère de ses deux enfants.
Dans cette affaire « atypique », Me Jorge Mendes Constante, avocat de la victime, compte mettre en avant « l’extrême fragilité » de son client, qui « redoute ce procès terriblement ». « Sa vie a été totalement détruite », assure-t-il, précisant qu’il est en attente d’une greffe. Les expertises ont relevé que l’amputation du pénis, raccourci dans sa longueur à 3 cm au repos et à environ 5 cm en érection, provoquait « une altération de l’image corporelle, ayant un retentissement sur la vie sociale, relationnelle et sexuelle ».
La femme au cœur de la dispute a, elle, choisi de se réconcilier avec son premier amour, Blaise Fragione, qu’elle envisage d’épouser.
Un homme de 38 ans sera jugé jeudi et vendredi en France pour avoir agressé au cutter l’amant de sa compagne en lui coupant le sexe, une mutilation à l’origine de traumatismes multiples chez la victime.
Le 23 octobre 2008 au matin, Blaise Fragione appelle les secours depuis son domicile marseillais. Il explique avoir eu un différend avec son rival F., l’avoir assommé, puis ôté son pantalon et son slip avant de lui sectionner le pénis avec un cutter et de le jeter dans les toilettes. L’examen médical confirmera qu’avec un tel instrument, il est possible de sectionner l’organe « avec une force minime, voire négligeable, un seul coup pouvant suffire ». Les deux protagonistes ont des versions des faits différentes. Selon l’accusé qui dit avoir « pété un plomb », F. était venu lui avouer sa relation avec « Mado », sa concubine depuis 14 ans et mère de ses deux enfants.
Dans cette affaire « atypique », Me Jorge Mendes Constante, avocat de la victime, compte mettre en avant « l’extrême fragilité » de son client, qui « redoute ce procès terriblement ». « Sa vie a été totalement détruite », assure-t-il, précisant qu’il est en attente d’une greffe. Les expertises ont relevé que l’amputation du pénis, raccourci dans sa longueur à 3 cm au repos et à environ 5 cm en érection, provoquait « une altération de l’image corporelle, ayant un retentissement sur la vie sociale, relationnelle et sexuelle ».
La femme au cœur de la dispute a, elle, choisi de se réconcilier avec son premier amour, Blaise Fragione, qu’elle envisage d’épouser.
Un homme jugé pour avoir coupé le sexe de l’amant de sa compagneUn homme de 38 ans sera jugé jeudi et vendredi en France pour avoir agressé au cutter l’amant de sa compagne en lui coupant le sexe, une mutilation à l’origine de traumatismes multiples chez la victime.Le 23 octobre 2008 au matin, Blaise Fragione appelle les secours depuis son domicile marseillais. Il explique...
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