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Culture

Mise au point de la cantatrice Samia Sandri

L’Elixir d’Amore, l’opéra présenté au palais de l’Unesco hier soir par le Conservatoire national de musique, ne serait pas la première initiative du genre purement libanaise, comme annoncé par cette institution (voir conférence de presse du samedi 4 février). En effet, dans une mise au point, la cantatrice Samia Youssef el-Hage, connue sous le nom de Samia Sandri, rappelle qu’elle a été la première, en 1956, à présenter «Les pêcheurs de perles de Bizet, sur un sujet oriental» avec un chœur, des solistes, un chef d’orchestre, un décor et une mise en scène exclusivement libanais. Un spectacle présenté en ce temps là, lui aussi, à l’Unesco, sous le patronage du président Camille Chamoun, chef de l’État à l’époque.
Samia Sandri faisait également partie du conseil d’administration du Conservatoire ayant contribué à l’élaboration des statuts de cette institution dans laquelle elle a enseigné de 1957 à 1972. Par ailleurs, elle a été enseignante à l’Université libanaise, a traduit de nombreux opéras français et italiens, chantant dans plusieurs récitals. Il est regrettable que les responsables du Conservatoire ne consultent pas leurs archives avant d’entreprendre une initiative.
L’Elixir d’Amore, l’opéra présenté au palais de l’Unesco hier soir par le Conservatoire national de musique, ne serait pas la première initiative du genre purement libanaise, comme annoncé par cette institution (voir conférence de presse du samedi 4 février). En effet, dans une mise au point, la cantatrice Samia Youssef el-Hage, connue sous le nom de Samia Sandri,...

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