Lukas Podolski, c’est le joueur du moment. L’attaquant de la Mannschaft joue au FC Cologne et les médias cherchent à l’envoyer un peu partout. Une chose est dure, Podo n’ira pas à Dortmund après un échange aigre-doux avec l’entraîneur Klopp.
L’un des meilleurs chasseurs de but de Bundesliga et même d’Europe cette saison, Lukas Podolski, fer de lance de Cologne, est du même coup une proie pour le mercato hivernal qui débute en janvier, comme l’a déjà fait savoir le voisin, Schalke 04.
Contre Fribourg samedi (4-0), Podolski a réussi son cinquième doublé de la saison, le deuxième de rang après celui de Stuttgart (2-2). Au total, 13 buts en 14 matches joués, soit autant que toute la saison dernière et à des années-lumière de 2009-2010, lorsqu’il était resté muet durant 1 425 minutes !
Pas étonnant qu’à Cologne, Poldi vaille de l’or. Une valeur refuge, estimée à 25 millions d’euros par le quotidien Bild, et dont ses dirigeants n’ont pas l’intention de se séparer avant le terme de son contrat, en juin 2013.
Ils n’envisagent pas l’avenir sans leur « Monsieur 50 % » (13 des 26 buts actuels). Celui qui permet au club de pointer au 10e rang, avec l’espoir de remonter à la 7e place s’il bat Mayence mardi en match en retard, avant la dernière rencontre de l’année vendredi chez Bayern Munich.
« On ne préparera pas la saison prochaine avec Podolski s’il n’a pas prolongé son contrat », affirmait dimanche le directeur sportif Volker Finke, en réponse au « oui, Podolski nous intéresse » du président de Schalke, Clemens Tönnies.
Surtout pas le Bayern
Une forme d’ultimatum qui n’a pas plu au joueur. « Alors il me faudra jouer dans l’équipe B ou rester dans les tribunes », a rétorqué Prince Poldi, tout en affirmant « n’avoir pris aucune décision encore ».
Podolski aime Cologne, où il a grandi depuis l’arrivée de sa famille en provenance de sa Pologne natale. « Mais je suis au top de ma forme et je pourrais réussir n’importe où en Europe. Je ne suis pas forcé de rester », remarquait-il récemment. « Mini Tyson », comme le surnomme son entraîneur, regrette le manque d’ambition du club. « On m’avait dit que l’objectif était de retrouver l’Europe rapidement et on a échoué. C’est naturel de se poser des questions », a-t-il lâché. S’il n’a certainement pas l’intention de retourner au Bayern, où il a vécu trois piètres saisons (2006-2009) avant de revenir à son club formateur, Schalke, actuel 3e du championnat, pourrait être une solution, d’autant que Gelsenkirchen n’est qu’à 60 km de Cologne. « Si Lukas venait à partir, il pourrait jouer dans des équipes meilleures que Schalke, même au Barça ou au Real », a estimé l’entraîneur de Cologne, Stale Solbakken.
Schalke ne serait d’ailleurs pas le seul club à s’intéresser à l’international aux 95 capes à 26 ans seulement.
D’aucuns disent que le président de la Lazio Rome serait déjà venu en Allemagne, avec l’espoir de reformer le duo d’attaque de la Mannschaft avec Miroslav Klose. D’autres assurent qu’Arsenal serait prêt à verser des millions d’euros dans les caisses de Cologne...
(Source : AFP)
Contre Fribourg samedi (4-0), Podolski a réussi son cinquième doublé de la saison, le deuxième de rang après celui de Stuttgart (2-2). Au total, 13 buts en 14 matches joués, soit autant que toute la saison dernière et à des années-lumière de 2009-2010, lorsqu’il était resté muet durant 1 425 minutes !
Pas étonnant qu’à Cologne, Poldi vaille de l’or. Une valeur refuge, estimée à 25 millions d’euros par le quotidien Bild, et dont ses dirigeants n’ont pas l’intention de se séparer avant le terme de son contrat, en juin 2013.
Ils n’envisagent pas l’avenir sans leur « Monsieur 50 % » (13 des 26 buts actuels). Celui qui permet au club de pointer au 10e rang, avec l’espoir de remonter à la 7e place s’il bat Mayence mardi en match en retard, avant la dernière rencontre de l’année vendredi chez Bayern Munich.
« On ne préparera pas la saison prochaine avec Podolski s’il n’a pas prolongé son contrat », affirmait dimanche le directeur sportif Volker Finke, en réponse au « oui, Podolski nous intéresse » du président de Schalke, Clemens Tönnies.
Surtout pas le Bayern
Une forme d’ultimatum qui n’a pas plu au joueur. « Alors il me faudra jouer dans l’équipe B ou rester dans les tribunes », a rétorqué Prince Poldi, tout en affirmant « n’avoir pris aucune décision encore ».
Podolski aime Cologne, où il a grandi depuis l’arrivée de sa famille en provenance de sa Pologne natale. « Mais je suis au top de ma forme et je pourrais réussir n’importe où en Europe. Je ne suis pas forcé de rester », remarquait-il récemment. « Mini Tyson », comme le surnomme son entraîneur, regrette le manque d’ambition du club. « On m’avait dit que l’objectif était de retrouver l’Europe rapidement et on a échoué. C’est naturel de se poser des questions », a-t-il lâché. S’il n’a certainement pas l’intention de retourner au Bayern, où il a vécu trois piètres saisons (2006-2009) avant de revenir à son club formateur, Schalke, actuel 3e du championnat, pourrait être une solution, d’autant que Gelsenkirchen n’est qu’à 60 km de Cologne. « Si Lukas venait à partir, il pourrait jouer dans des équipes meilleures que Schalke, même au Barça ou au Real », a estimé l’entraîneur de Cologne, Stale Solbakken.
Schalke ne serait d’ailleurs pas le seul club à s’intéresser à l’international aux 95 capes à 26 ans seulement.
D’aucuns disent que le président de la Lazio Rome serait déjà venu en Allemagne, avec l’espoir de reformer le duo d’attaque de la Mannschaft avec Miroslav Klose. D’autres assurent qu’Arsenal serait prêt à verser des millions d’euros dans les caisses de Cologne...
(Source : AFP)
L’un des meilleurs chasseurs de but de Bundesliga et même d’Europe cette saison, Lukas Podolski, fer de lance de Cologne, est du même coup une proie pour le mercato hivernal qui débute en janvier, comme l’a déjà fait savoir le voisin, Schalke 04.Contre Fribourg samedi (4-0), Podolski a réussi son cinquième doublé de la saison, le deuxième de rang après celui de Stuttgart (2-2). Au...
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